vendredi 23 novembre 2012

25 Techniques de désinformation


Technique n°1 : Évitement
Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper.
Technique n°2 : Superficialité
N’aborder la controverse qu’en périphérie, sur des points mineurs voire pittoresques. Éviter soigneusement les points clés de l’argumentation.
Technique n°3 : Indignation
Rejeter le sujet de façon indignée (« jamais une chose pareille ne serait possible »). Jouer sur le sentiment d’incrédulité (« il y aurait eu des fuites », « ça se saurait », …)
Technique n°4 : Rumeur
Considérer la controverse comme une rumeur de plus, sans fondements, quels que soient les arguments présentés.
Technique n°5 : Homme de paille
 Présenter la position de son adversaire de façon volontairement erronée, en sélectionnant son argument le plus faible, en amplifiant sa portée puis en le détruisant.
Technique n°6 : Messager
Décrédibiliser le porteur du message. Par extension, associer les opposants à des dénominations impopulaires telles que « excentrique », « extrême-droite », « gauchiste », « terroriste », « conspirationniste », « radical », « fanatique », ou même « blonde » etc…
Technique n°6 bis: Attaque ad hominem
Très appréciée et souvent utilisée. Quitter l’objet de la querelle (indéfendable) et diriger les attaques sur la personne de l’opposant en tenant des propos désobligeants, blessants ou grossiers à son égard. C’est un appel des facultés de l’esprit à celles du corps ou à l’animalité.
Technique n°7 : Biais
Exacerber tous les faits qui pourraient donner à penser que l’opposant opère en dissimulant ses véritables intentions ou est sujet à tout autre forme de biais.
Technique n°8 : Confusion
Quelque soit le niveau de la polémique mais sans y faire référence, confirmer la thèse officielle par un communiqué laconique sur une nouvelle étude favorable et rassurante.
Technique n°9 : Autorité
S’associer à l’autorité (organismes internationaux etc.) et présenter ses arguments avec suffisamment de jargon, de détails techniques et de sources pour les crédibiliser.
Technique n°10 : Innocence
Faire l’innocent. Quelle que soit la solidité des arguments de l’opposant, éviter la discussion en leur contestant toute crédibilité, toute existence de preuves, toute logique ou tout sens. Mélanger le tout pour un maximum d’efficacité.
Technique n°11 : Amalgame
Associer les charges de l’opposant à des charges farfelues facilement réfutables, qu’elles soient antérieures ou le fait d’autres opposants. En y étant associées, les charges subséquentes, quelle que soit leur validité, sont alors beaucoup plus facilement discréditées.
Technique n°12 : Diviser
Diviser pour mieux régner et par extension mettre l’accent sur les différences entre les différents courants des opposants et l’impression de chaos que cela procure.
Technique n°13 : Pseudo-débat
Présenter la version de l’opposant en premier lieu puis démentir par une succession de déclarations issues de sources faisant apparemment autorité.
Technique n°14 : Confession
Admettre avec candeur que des manquements (mineurs) ont été identifiés et que des solutions ont été apportées. Les opposants cependant en ont tiré parti pour gonfler la controverse et tenter de démontrer ce qui n’existe pas.
Technique n°15 : Édulcorer
Utiliser des termes techniques sans contenu émotif pour décrire le problème.
Technique n°16 : Énigme
Les énigmes n’ont pas de solution. Étant donné la multitude des paramètres, des intervenants et de leurs interactions, le sujet est bien trop complexe pour ne pouvoir être jamais résolu. Une technique couramment utilisée pour décourager ceux qui cherchent à suivre…
Technique n°17 : Solution complète
Éviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il fournisse une solution complète à la résolution de la controverse.
Technique n° 18 : Omission
Omettre des preuves, des publications ou des témoignages contraires. S’ils n’existent pas, ce ne sont pas des faits, et le sujet ne doit pas être couvert.
Technique n°19 : Sang froid
Amener l’opposant à argumenter dans une position difficile et jouer sur sa perte de sang froid pour le décrédibiliser.
Technique n°20 : Expertise
« You don’t bite de hand that feeds you », disent les Anglais (vous ne mordez pas la main qui vous nourrit). Créer son propre groupe d’experts et le financer directement ou indirectement.
Technique n°21 : Preuve impossible
Ignorer les preuves présentées par l’opposant comme étant non pertinentes et lui demander des preuves inaccessibles, que ce soit matériellement (non disponibles ou soustraites au regard du public), techniquement (années de recherche) ou financièrement.
Technique n° 22 : Déni
Dénier toute crédibilité ou être extrêmement critique vis à vis de publications, de témoignages ou même de propos officiels d’organes de pouvoir, en les désignant comme des « sources non valides » ou « des éléments sortis de leur contexte ».
Technique n°23 : Fausse preuve
Introduire des éléments contradictoires par rapport à l’argument de l’opposant, au besoin en fabriquant de fausses preuves, par exemple sous la forme d’études scientifiques au protocole particulièrement étudié.
Technique n°24 : Grand Jury
Organiser un grand jury ou des états généraux avec tous les atours de la consultation la plus large et la plus ouverte qui soient. Neutraliser ensuite les sujets qui fâchent et présenter le rapport final comme étant l’état du consensus général.
Technique n°25 : Diversion et distraction
Créer l’événement ailleurs pour distraire et écarter l’attention du public.

http://www.vigli.org/desinfo.htm

mardi 20 novembre 2012

Les Skull and Bones



Les Skull and Bones (littéralement le Crâne et les Os) sont une société secrète de l'université Yale aux États-Unis. Ce groupe est aussi connu par les anglophones sous les noms « Chapter 322 » et « Brotherhood of Death » (« la fraternité de la mort »). Ce serait la première société secrète qui ait vu le jour à Yale, sous l'impulsion de William Huntington Russell en décembre 1832. Elle constitue l'une des plus prestigieuses sociétés secrètes américaines, avec Scroll and Key, Wolf's Head, Book and Snake...






Archive sur les Rituels des Skull and Bones par Matricecensuree

mercredi 7 novembre 2012

Le prince Charles affirme descendre de Dracula


Le prince Charles, héritier du trône d'Angleterre, a déclaré être un descendant de Vlad l'Empaleur de Valachie. Ce gouverneur est également connu sous le nom de Vlad Dracula. « Le sang de Transylvanie coule dans mes veines, les généalogistes disent que je suis un descendant de Vlad III », a noté le prince britannique.

Charles est un descendant de Dracula en 16e génération. Selon l'Agence touristique nationale de Roumanie l'aveu du prince rendra ce pays plus intéressant.

Une vidéo avec l'aveu du prince a été présentée à Londres au salon internationl World Travel Market 2012.


source


jeudi 18 octobre 2012

LES ORIGINES DE L’HUMANITE AU 21/12/2012


Toutes les anciennes civilisations et textes anciens, y comprit la Bible, la Torah et le Coran, en parlent à maintes reprises. Tous les monuments anciens de taille gigantesque (à juste titre), restent un mystère de construction de part leur taille et leur complexité mathématique.
On sait aujourd’hui que les conditions atmosphériques ont induit une plus grande taille par le passé pour tous les êtres vivants. (Prouvée par la taille des fossiles d’insectes, dinosaures et autres). Les scientifiques sont bien entendu, tous d’accord sur ce point.
Des empreintes de pas découvertes en 1908, près de Glenn Rose (Texas), montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur (selon les standards modernes), mêlées avec des traces de dinosaures ! (de 120 à 130 millions d'années).


plus anciens récits attestent d’une origine extra-terrestre de géants venu coloniser la Terre. Les Sumériens expriment la genèse de l’homme par une modification génétique issue de l’homo-sapiens et de leur propre ADN. De plus, les anciens disposaient d’une connaissance astronomique et sociale, largement en avance sur nous. L’Eden était pour les Anunnaki, leur premier site colonial, (Anunnaki étant le nom donné par les Sumériens à ces fameux E.T.). L’endroit où Enki, le dieu des eaux et généticien au service d’Anu, son père et frère d’Enlil, aurait crée l’homme par voie génétique.
L’origine de ces extra-terrestres est mentionnée à plusieurs reprises comme étant la planète Nibiru. Avoisinant les 3600 ans pour sa révolution complète, elle passerait près de chez nous durant chacun de ces cycles. Historiquement, on peut calculer à partir de leur dernier passage supposé, une étrange coïncidence avec des cataclysmes majeurs dans le passé. Nibiru serait-elle l’explication de la fin de chacun des mondes ?
Car il faut savoir que géologiquement parlant, nous sommes supposément la 4ème génération d’êtres humains. Trois autres avant nous ont vus le jour puis se sont éteint dans des circonstances obscures. On cite souvent un déluge mondial, ou encore un réveil des volcans entrainant la mort par asphyxie à cause du souffre et des cendres rejetées.
Chose intéressante à noter, les Sumériens connaissaient parfaitement la position de chacune de nos planètes, y compris Pluton. Hors, nous ne connaissons son existence, sa nature et sa position depuis seulement 1930. De plus la tablette ci-dessous, traduite par Zecharia Sitchin, exprime à quel point leurs connaissances étaient grandes en matière d’astronomie, étant donné que les positions, échelles correspondent parfaitement à la réalité connue des planètes.

S’ensuit le déluge naturel ou provoqué par les Anunnaki. Selon le livre de Baruch, les Titans disparaissent avec lui, autrement dit, les géants. Les Titans seraient des fils demi-dieux. Autrement dit, mi-homme, mi-dieux. Mi-homme, mi-Anunnaki.
Cela explique en partie la construction des monuments anciens construits avec des éléments de plusieurs centaines de tonnes. Leurs connaissances mathématiques pourraient expliquer la complexité des constructions. Le déluge par ailleurs, est bien attesté par les géologues de manière unanime. Le plateau de Gizeh est un bon exemple des dégâts causés par celui-ci de par leur surface érodée. Le Sphinx et les pyramides, monuments connus et étudiés depuis plus de 60 ans, ont d’ailleurs étaient à nouveau datées il y a peu. Et ils seraient semble-t-il, beaucoup plus anciens que prévu. En fait, ces constructions, tout comme la plupart des monuments construits de manière inconnue, sont antédiluviens. A savoir,  10.500 ans pour les pyramides.  12.500 ans pour le Sphinx.
Voici une traduction faite par mes soins d’un article de Magazine.
« Un article du Magazine Strand (Décembre 1895), réimprimé dans « Traces des Géants de la religion en Irlande » par W.G. Wood-Martin, mentionne ce géant fossilisé, découvert au cours d’opérations minières dans le Comté d’Antrim, en Irlande. Parmi les articles les plus extraordinaires jamais détenus par une société de chemin de fer, la plus incroyable reste celle du géant fossilisé Irlandais, qui est en ce moment dans le dépôt situé au Nord Ouest de la rue de la compagnie de chemin de fer, à Londres. Et voici une photographie du géant. Cette figure monstrueuse est réputée pour avoir été déterrée par Monsieur Dyer, durant une prospection de minerai de fer dans le comté d’Antrim. Les principales mesures sont les suivantes :
Taille : 12 pieds, soit 3.65 mètres
Circonférence de la poitrine : 6 pieds, soit 1.82 mètres
Longueur des bras : 4 pieds, soit 1.21 mètres
Son pied droit comporte 6 orteils
Poids brut : Environs 2 Tonnes
De part son poids exceptionnel, il aura fallu une demi-douzaine d’hommes et une grue puissante pour le placer ainsi contre l’arrière du wagon. Afin d’en tirer une photographie convenable pour le Magazine Strand. Monsieur Dyer, après avoir montré le géant à Dublin, est venu en Angleterre avec sa drôle de découverte et l’a exposée à Liverpool et Manchester pour la somme de 6 pence (8 centimes d’euro), par personnes. Attirant ainsi les scientifiques, anthropologues et touristes béants. »

Le déluge à donc tout effacé ou presque, expliquant la rareté des corps de géants. De plus il est tout à fait probable que les trouvailles récentes soient mises sous clés et cachées au grand public par les lobbies Sionistes et Illuminati. (Bien qu’il existe une preuve photographique datant de 1905). Tout comme les soldats américains ont profité de l’invasion en Irak pour piller le musée de Bagdad afin de voler pas moins de 14.000 tablettes Sumériennes pour la plupart non-traduites. Et ont bombardé 800 fois plusieurs sites Sumériens alors tout juste découverts et à peine étudiés. L’Irak n’ayant pu récupérer ses trésors historiques, faute d’archives officielles, brulées par les Américains. Seules 3.000 tablettes leur furent restituées. Et il semblerait de source sure que les 11.000 tablettes restantes soient détenues actuellement par le Vatican. Le plus grand faussaire de la genèse de l‘humanité.
Il est donc très clair que les lobbies refusent que l’humanité connaisse la vérité sur ses origines. Cela étant, il est intéressant de noter que des prospecteurs d’Or ont retrouvé en 1991, de la nanotechnologie dans la vallée de l’Oural, en Russie. Ces minuscules artefacts font entre trois millimètres et trois millièmes de millimètres, ils ont tous été retrouvé dans les couches du pléistocène supérieur. Ces mini objets sont en générales de forme spiralée, ils sont constitués, d’après les études de l’Académie des Sciences russe de Syktyvkar, Moscou et St Petersburg, de tungstène, de molybdène et de cuivre. Les couches sur lesquelles ces objets furent trouvés date d’entre deux millions d’année et dix milles ans. Impensable lorsqu’on sait que pour obtenir ce genre de résultat, il faut disposer d’une technologie au moins aussi avancée que la nôtre. Mais ce n’est pas tout.  Les objets retrouvés dateraient de 300.000 ans.


Chez les Tibétains, les géants sont une partie intégrante de leur histoire. Des géants d’une taille avoisinant les 3 mètres de haut, (taille moyenne évoquée par toutes les anciennes civilisations), blonds aux yeux bleus. D’origine semble-t-il, Aryenne. Il est aisé de faire un lien avec Hitler et sa passion pour l’ésotérisme et les origines de sa race dont il a tant fait sa fierté au travers de la seconde guerre mondiale. Adepte également de la théorie de la Terre Creuse, faisant également partie des légendes Tibétaines, parlant d’une ville souterraine, nommée Agharta, faisant partie de la mythique citée de Shambhala.
Les rapports officiels actuels dénoncent évidemment une arnaque historique et géologique. Cependant, il est intéressant de noter que la théorie de la Terre Creuse n’entre absolument pas en contradiction avec la physique de notre planète. Elle écarte la théorie du noyau de fer pour remplacer celui-ci par un soleil intérieur. Certes, cela remet beaucoup d’éléments en question mais l’explication de cette théorie est tout à fait crédible et complète. A noter également que les pôles nord et sud sont actuellement contrôlés respectivement par les américains et d’après les sources d’archives, par les Nazis. Tout vol ou navigation au-delà du Pôle Nord est purement interdit par l’armée. Pour ce qui est du Pôle Sud, l’entrée serait bouchée par la calotte glaciaire.


Les archives photographiques et vidéo retrouvées après la seconde guerre mondiale, prouvent que le 3ème Reich travaillait sur une technologie nommée Vril. Cette technologie serait, (d’après les archives et témoignages), issue du monde souterrain. Apportant ainsi l’explication physique et concrète des OVNIS. Ou comment des soucoupes volantes peuvent se déplacer à des vitesses vertigineuses. Technologie réutilisée et développée durant la seconde guerre mondiale par le IIIème Reich et récupérée par les Américains durant l’opération Paper Clip.
La technologie en question repose sur le magnétisme. Deux cylindres tournant l’un sur l’autre en sens contraire et diffusant naturellement par le biais de leurs mouvements opposés, un champ magnétique entourant la soucoupe et la protégeant de tout projectile. Lui apportant donc une protection mais également une acuité à se déplacer à la verticale, tout comme à l’horizontale, et ce, sans aucune friction quelconque. Leur vitesse connue, toujours d’après les archives, serait pour le plus lent d’environs 7.000 km/h. Pour le plus rapide, 40.000 km/h. Défiant ainsi toutes les lois de la gravité.
Cette technologie apporte également son complément sur la construction des anciens monuments parsemant notre planète. S’ils étaient capable de défier la gravité pour un aéronef, alors ils devaient certainement pouvoir le faire pour déplacer des pierres de 300 tonnes chacune. Sachant que tous les bâtisseurs d’anciens sites, ont tous sans exception, (et bien au-delà de la simple complexité mathématique des monuments), réussit à déplacer des milliers de pierres pesant plusieurs tonnes, sur des kilomètres. Pour le Machu Pichu, c’est tout simplement incohérent car cette citée est perchée à une hauteur de 2045 mètres. Sans compter le fait que les routes sont quasiment impraticables à pied. Alors imaginez avec des pierres de 300 tonnes…
Pour le plateau de Gizeh, c’est tout aussi invraisemblable. La carrière la plus proche du site se trouve à pas moins de 800km. Imaginez un parcours entre Paris et Lyon pour chaque pierre. Sans oublier qu’officiellement, les égyptologues affirment que sa construction n’aurais prit que 20 ans.
La connaissance du magnétisme fut certainement relayée aux Egyptiens par la suite, car ceux-là connaissaient l’existence de la pile. D’un seul volt, certes, mais suffisant pour permettre l’électrolyse de l’or ou de l’argent par exemple. Ils savaient également beaucoup de choses sur l’astronomie, la chirurgie et tant d’autres choses qu’une civilisation de leur temps aurait du ignorer si l’on s’en tient à la version officielle des historiens. Ils savaient entre autre effectuer des trépanations. Cependant, cette connaissance chirurgicale serait bien plus ancienne selon les archéologues. Dès le Mésolithique (il y a environ 12 000 ans), l'homme se mit à pratiquer sur le crâne de ses congénères des opérations chirurgicales à l'aide d'outils de silex : les trépanations. La pratique se développa partout en Europe. Et à l'Age du Cuivre, un foyer très important se trouvait dans les Grands Causses (sud de la France).


Les crânes de cristal font également partie du mystère. Bien que la polémique autour du sujet m’empêche d’affirmer avec certitude la véracité de son existence en tant qu’objet ancien, il est important de rappeler que son origine est inconnue. Qu’aucune trace d’outils n’a pu être révélée et que sa conception est tout à fait exceptionnelle. De plus, la lumière est réfléchie uniquement depuis le dessous vers les orbites du crâne. Hors, un cristal possède des prismes aléatoires. Il est donc difficile de croire que le crâne fut naturellement parfait pour réfléchir ainsi la lumière uniquement par les orbites.
Tout en sachant que sa composition est de cristal de quartz pur. Et que la mâchoire est issue du même morceau. Malheureusement, le cristal ne vieillissant pas, il est impossible de dater ce crâne. Mais selon certaines sources non-officielles d’Amérique centrale, ce crâne aurait 12 autres jumeaux disséminés à travers le monde et seraient en réalité des sortes de disque dur, contenant des informations transmises par les Atlantes. Difficile à avaler mais pourquoi pas, au point où nous en sommes sur les révélations…


Sachant que l’humain est vraisemblablement plus ancien que prévu, il est tout à fait possible de supposer que les Atlantes furent une civilisation très ancienne, disposant d’une technologie capable d’incruster des informations dans le cristal. Voir même de ne permettre leur accès à la seule condition que les 13 crânes sont réunis en un seul et même endroit. Mais comme officiellement, seul un crâne est capable de prétendre être un original, il est peu probable que nous trouvions les 12 autres. Sauf si bien sure, ils ont été trouvés mais qu’on a préféré nous le cacher et décrédibiliser le sujet afin d’étouffer l’affaire et d’écarter tout soupçon sur la véracité de cette légende. De la même façon, les OVNI et autres histoire d’E.T. on été étiquetées comme supercherie afin d’éviter tout soupçons de la part de l’opinion publique. Heureusement, il existe encore des groupes de détracteurs pour faire front face à l’obscurantisme et la manipulation médiatique.
Mais parlons du sujet le plus controversé de ces 3 dernières années : Nibiru. Plus connue sous le nom de planète X. Je précise avant toute chose que le signe utilisé pour Nibiru chez les Sumériens, est une croix catholique. Plutôt amusant lorsqu’on sait que les trois religions ont pompée l’histoire Sumérienne après l’avoir totalement modifiée en fonction des besoins.
Une théorie assez récente explique que notre galaxie n’est en fait qu’un trou noir. Et à supposer que Nibiru soit bien une planète et qu’elle orbite de manière elliptique autour de notre galaxie (trou noir), tel qu’expliqué par Sitchin au travers de ses traductions, alors on peut supposer qu’une fois à son apogée, cette planète soit inéluctablement attirée vers l’extérieur du trou noir, pour finalement être à nouveau aspiré vers l’intérieur, (du fait de la gravité extrême du trou noir), continuant ainsi sa course vers son périgée : La Terre.


Aux dernières nouvelles, il semblerait que des chercheurs de la NASA et des astrophysiciens indépendants aient enfin levé le voile sur certaines réalités cachées au public. A savoir, l’existence même de la planète X.
Dernièrement, une vidéo circulant sur le net met en avant son existence en montrant clairement une forme sphérique située à gauche du soleil. Nous savons désormais que ce corps céleste avance en effet vers nous grâce à la NASA qui n’a pas pu démentir l’existence de cette planète et explique que celle-ci n’était jusqu’alors invisible étant dans le parcours de la comète Elenin.
La NASA a donc caché sa vraie nature durant tout ce temps car les chercheurs savent à quel point cette planète ou naine brune, est d’une importance capitale pour notre avenir à tous. Il faut bien comprendre que l’enchainement exponentiel des séismes, tsunamis, tornades et autre éruptions volcaniques à travers le monde et ce, depuis maintenant 3 ans, n’est pas dû au changement climatique mais à la position changeante de cette planète. Mais ce n’est pas tout. Un autre astre est lié à tout ceci : Le Soleil. Ces changements peuvent êtres vérifiés aisément par le biais d’internet en cherchant l’activité solaire de ces deux dernières années et les séismes en accord avec ces changements.
A l’heure où je vous parle, notre soleil est en hyper activité. Et selon toute vraisemblance, il atteindra un seuil critique le 21/12/2012. D’abord parce qu’il va terminer son cycle en cours, entrainant en ce moment même l’inversion de ses  pôles. Mais il va également engendrer des dégâts sur Terre, du fait de notre faible champ magnétique actuel. Il faut bien comprendre que notre planète est en train de subir un basculement des pôles, tout comme le soleil. Cependant, il est impossible de savoir quand aura lieu l’effet Kiss-Cool. C'est-à-dire, le point de rupture qui entrainera le changement soudain de position des pôles Nord et Sud.


Tout ce que l’on sait, c’est qu’un tel changement provoquerait la fin de notre monde moderne et nous renverrait au Moyen Age. Plus d’électricité suite à l’inversion des polarités. Rendant ainsi nos technologies inutilisables. Adieu les téléphones, les ordinateurs et autres appareils électriques ou électroniques. Nos véhicules ne fonctionneront plus, étant donné que chacun d’entre eux dépend d’une batterie pour démarrer. De plus et c’est bien là le plus inquiétant, les centrales nucléaires seront mises hors-circuit instantanément. Entrainant la fusion des cœurs, faut d’avoir un refroidissement continu, suite à quoi, une radioactivité monstrueuse et rapidement mortelle se rependra sur des kilomètres. Entrainant par la suite, l’apparition de Corium.
Et bien entendu, le meilleur pour la fin… Plus de traitement des eaux. Entrainant en moins de 3 mois, une pandémie mondiale à base de maladies et virus divers que nous avions éradiqué par le passé. Mais bien entendu, ce n’est pas une science exacte et certains scientifiques parlent d’un changement global qui n’entrainerait pas de problème électrique. Difficile à croire lorsqu’on sait que seule la magnétite ne change pas de polarité. C’est d’ailleurs grâce à cet élément que nous pouvons connaitre l’étendue des dégâts que pourrait causer un tel événement.


Quoi qu’il en soit, rien n’est certain et on peut espérer un changement d’une autre nature, comme une évolution spontanée de l’humanité. Cela peut sembler dingue mais en réalité, il est tout à fait concevable qu’un tel événement se produise. Un physicien à proposé cette théorie selon laquelle, le soleil aurait une influence directe et continue sur notre évolution et notre mental. Il semblerait que l’humain par le passé ait évolué de manière instantanée et sans explication valable. A savoir, une évolution de plusieurs millions d’années sur une période de quelques mois.
On sait également que chaque être vivant fonctionne avec de l’électricité, générée par le cœur et dépendant du champ magnétique terrestre. Si le soleil venait à s’intensifier en activité et qu’il se trouvait qu’au même moment, notre champ protecteur soit amoindri par une faible activité comme cela devrait se produire durant la fin de l’année, alors ont peut supposer que le changement soudain du taux de radiation solaire, entraine une mutation génétique soudaine, ajoutant selon les résultats de ce scientifique, deux brins d’ADN supplémentaires à chaque être vivant. Y compris les animaux donc. Sachez qu’entre l’homme et le Chimpanzé, seulement 1% nous différencie sur le plan génétique et pourtant l’intelligence est grandement différente. Ce petit détail me laisse imaginer ce que l’homme pourrait devenir s’il jouissait d’une intelligence soudainement plus avancée. Mais bien entendu, il ne s’agit là que de théories toutes aussi extraordinaires les unes que les autres.
De tout temps, l’homme à recherché cette fameuse date de la fin du monde, la fin des temps, le jugement dernier, l’apocalypse. Rien qu’en 100 ans, la liste des fins du monde s’étend à plus de 100 prédictions. Imaginez donc le nombre de fausses rumeurs qu’il y a pu avoir durant 6.000 ans. Mais il est important de comprendre que certaines prédictions parlent effectivement du 21 Décembre 2012. Elles sont nombreuses, d’époques différentes mais toujours à l’issue commune : La fin du monde tel que nous le connaissons.
On parle très souvent de la prédiction des Mayas comme de la fin du monde. Mais en réalité, il ne s’agit que de la fin d’un monde et non pas d’une apocalypse finale sans suite.  La nuance est donc énorme. C’est pour cette raison que j’aime à penser que le basculement des pôles ou bien l’évolution spontanée pourraient êtres les raisons qui changeront notre monde. Mais que vous y croyez ou non, il est amusant de constater sans effort quelconque que notre monde converge inéluctablement vers un même point de rupture depuis 2 ans. Le nombre de guerres à travers le monde ne cesse d’augmenter, (environs 70 actuellement), le nombre de catastrophes naturelles également, pas moins de 6 tremblements de terre suivis d’un tsunami rien qu’en 2011, et tant d’autres éléments étonnants comme l’activité magnétique suspecte des pyramides à travers le monde.


Beaucoup de révélations sortent jours après jours depuis le début de l’année et il semblerait que chacune apporte un peu plus de crédibilité chaque jour à la théorie du complot. Rien que la datation des pyramides de Bosnie me laisse songeur sur les découvertes à venir.
S’il m’est permis de poster une seconde partie, j’y analyserais d’autres informations sensibles, tel que les OVNI du IIIème Reich, la personnification du Soleil à travers les cultures anciennes et les véritables intentions des dirigeants et ce qui empêchent ces gens de l’ombre d’imposer leur Nouvel Ordre Mondial pour le moment.
Quoi qu’il arrive, j’espère simplement que cette analyse vous apportera sagesse, curiosité et ouverture d’esprit. Aucune vérité n’est absolue. Mais rien n’est au dessus de la vérité.

Lenox

lundi 15 octobre 2012

Rumeurs sur la planète X ou Nibiru

LA 12ème PLANÈTE SELON VELIKOVSKY

Immanuel Velikovsky était un génie du niveau d'Einstein, et c’est un fait dont font rarement mention ses détracteurs. Lui et Einstein étaient des Enfants des Étoiles, et ils étaient amis, des amis qui se confrontaient amicalement dans ces sortes de débats dans lesquels seuls deux génies peuvent se mesurer.


La mission de Velikovsky était de pousser l'humanité à réfléchir aux cataclysmes périodiques qui ont si tragiquement laissés leurs marques sur Terre et dans l'histoire de l'Homme. Tout comme Einstein, il était critiqué parce qu'il annonçait des choses que la majeure partie de l'humanité refuse d’entendre , à savoir de mauvaises nouvelles.

Des montagnes qui de toute évidence s’élevèrent dans les cieux sous l’effet d’une pression extrême, les ruines de grandes civilisations qui n'avaient aucune raison de disparaître, des carcasses de dinosaures apparemment sains et qui furent rapidement congelés sans cause de mort apparente - autant de preuves indubitables dont on n’a su que faire.

La recherche dans les domaines inexplorés se solde rarement par des conclusions que la profession juge solides. Les théories uniquement fondées sur d’autres théories ne reposent sur aucune base solide. Qu'une quelconque de ces théories soit prouvée, dans ces circonstances, relève du miracle. En conséquence, ces théories de Velikovsky qui parlent de quasi-collisions cosmiques avec la Terre sont sans fondement.

Si la planète Vénus vint à se déplacer le long d’une orbite irrégulière après un récent basculement de pôles, les bouleversements qu’a connu la Terre furent causés par le seul passage de la 12ème Planète - l'ingrédient majeur du mélange.

À l'encontre des théories de la relativité d'Einstein, les théories de Velikovsky ne peuvent véritablement être prouvées que tant que l'Étoile Rouge, la 12ème Planète, ne revient pour ravager à nouveau ce Système Solaire. Malheureusement pour ceux qui ne veulent pas entendre le propos de Velikovsky ou qui ne veulent pas regarder de près les preuves qui leur sont présentées de façon si poétique, ceux-là apprendront la vérité sur ses théories ... mais trop tard !

SITCHIN & LA 12ème PLANÈTE

Au début de sa carrière d'archéologiste, Zaccharie Sitchin fit la découverte de structures qui l'intriguèrent. Il avait un penchant pour les puzzles qui pouvaient être analysés de cette façon, par les structures qu'ils présentaient, et plus il rassemblaient de données, plus il était intrigué. Il se passionna. Le genre humain fait preuve d'une espèce d'amnésie collective en ce qui concerne les Basculements des Pôles du passé.

Sitchin rencontra des réactions similaires lorsque son puzzle, en formant des structures, révéla des cataclysmes passés, et l'existence d'une planète voyageuse que les anciens comptaient comme la 12ème planète, des humanoïdes grands et costauds qui avaient l'apparence de Dieux Grecs allant et venant de cette 12ème planète visiteuse, et la conclusion inévitable et incontournable - cela allait se produire de nouveau!

Confronté à ceux qui résistaient de façon absolue à examiner ses conclusions ou même à jeter un oeil aux faits qu'il avait si méticuleusement recueillis, Sitchin passa à la vitesse supérieure et chercha à convaincre ses détracteurs avec des preuves supplémentaires, jusqu'à ce que ses Arguments ne puissent pratiquement plus être démentis, à moins d'être en déni total.

Cependant, on voit encore de nos jour cette variété de comportement. Il y a ceux qui lisent et apprennent, ceux qui lisent et deviennent les avocats des théories de Sitchin, et ceux qui refusent de lire ou s'ils y sont contraints, refusent malgré tout d'absorber ou de traiter les faits présentés…

Traduction d'extraits de Landing on Planet Earth, pages 260-263, 178, et 201

En février 1971, les États-Unis lancèrent « Pioneer 10 ». Les scientifiques de « Pioneer 10 » lui adjoignirent une plaque d'aluminium gravée. Une tentative de dire à quiconque trouverait la plaque que le genre humain est composé d'hommes et de femmes, etc., et que (« Pioneer 10 ») vient de la 3ème planète de ce Soleil.
Notre astronomie est rivée à la notion que la Terre est la 3ème planète, ce qui est vrai si l'on compte à partir du centre de notre système, à savoir le Soleil…

Mais si quelqu'un approchait notre système de l'extérieur de celui-ci, la 1ère planète rencontrée serait Pluton, la 2ème Neptune, la 3ème Uranus, La 4ème Saturne, la 5ème Jupiter, la 6ème Mars .. et la Terre serait la 7ème.

Nous savons maintenant qu'au delà des planètes géantes Jupiter et Saturne, il se trouve d'autres planètes majeures à savoir Uranus et Neptune ainsi qu'une petite planète, Pluton. Mais nous n'en avons eu connaissance que très récemment.

Uranus a été découvert en 1781 en utilisant des télescopes plus performants. Neptune fut localisé avec précision par les astronomes (guidés par leurs calculs mathématiques) en 1846. Il devint évident que Neptune était sujet à une force perturbatrice inconnue, et Pluton (fut localisé) en 1930.

Au temps des Assyriens, le repérage céleste d'une planète associée à un dieu était souvent indiqué par un nombre approprié de symboles placés sur le côté du trône de ce dieu. Donc, une plaque représentant le dieu (Saturne) montrait 4 symboles d'étoiles sur son trône. De nombreux sceaux cylindriques et autres reliques graphiques représentent Mars comme la 6ème planète. Un sceau cylindrique montre le dieu associé à Mars siégeant sur un trône sous une étoile pointée six fois. Il est assez évident que Vénus était représentée comme une étoile pointée 8 fois. D'autres symboles sur le sceau montrent le Soleil, très semblable à ce que nous en représenterions aujourd'hui; la Lune, et la croix, le symbole de la Planète qui Passe, la 12ème Planète.

Traduction d'extraits de Kingship of Heaven, pages 246-248.

L'apparition périodique de la (12ème) Planète, et sa disparition à la visibilité de la Terre, confirme l'hypothèse de sa permanence sur une orbite solaire. Elle se comporte en cela comme de nombreuses comètes. S'il en est ainsi, pourquoi nos astronomes ne sont-ils pas au fait de l'existence de cette planète? Le fait est que même une orbite deux fois plus petite que la plus petite révolution de (la comète) Kohoutek ( 7500 ans) placerait la 12ème Planète environ six fois plus loin que Pluton - distance à laquelle on ne pourrait pas voir une telle planète. De fait, les planètes que l'on connaît au-delà de Saturne ne furent pas découvertes en premier lieu de façon visuelle, mais mathématiquement.

Les sources Mésopotamiennes et bibliques apportent des preuves solides pour que la période orbitale de la 12ème Planète soit 3600 ans.

Le nombre 3600 s'écrivait en Sumérien à l'aide d'un grand cercle. L'épithète employé pour la planète, "shar", signifiait aussi "un cercle parfait", ou "un cercle achevé". Il signifiait aussi 3600.

L'identité des trois termes - planète/orbite/3600 - ne pouvait pas être pure coïncidence.

Les périodes du règne que donne (un texte Sumérien) sont aussi des multiples parfaits du "shar" 3600 ans. Une conclusion qui s'impose d'elle-même est que ces règles du "shar" étaient associées au "shar", période orbitale de 3600 ans.

Traduction d'extraits de Kingship of Heaven, pages 242-245.

Tous les peuples anciens considéraient l'approche périodique de la 12ème Planète comme le signe de grands bouleversements, de grands changements, de nouvelles ères.

Les textes Mésopotamiens parlaient de l'apparition périodique de la planète comme d'un événement anticipé, prévisible, et observable. "La grande planète, rouge sombre à son apparition." 

Le jour lui-même a été décrit par l'Ancien Testament comme une période de pluies, d'inondations, et de tremblements de terre. Si l'on pense aux passages de la Bible comme se référant, comme leurs contreparties Mésopotamiennes, au passage dans le voisinage de la Terre d'une grosse planète avec une force de gravitation importante, les paroles d'Isaïe prennent tout leur sens : "Ils viennent d'un pays lointain, des extrémités du ciel, Yahvé et les instruments de sa colère, pour ravager tout le pays. "(Isaïe, 13-5)

Le prophète Amos a prédit de façon explicite: "Il adviendra en ce jour-là - oracle du Seigneur Yahvé - que je ferai coucher le Soleil en plein midi et que j'obscurcirai la Terre en un jour de lumière." (Amos 8-9)

Le prophète Zaccharie a informé les peuples que ce phénomène de l'arrêt de la rotation terrestre autour de son axe ne durerait qu'un jour: "Il arrivera, en ce jour-là, qu'il n'y aura plus de lumière mais du froid et du gel. Et il y aura un jour unique -Yahvé le connaît - plus de jour ni de nuit..." (Zaccharie 14-6,7)


DE DÉCOUVERTES EN DÉCOUVERTES...



Après la découverte de la planète Pluton en 1930, des astronomes s'aperçoivent rapidement que les première théories concernant les influences hypothétiques d'une telle planète sur les orbites Uranus et Neptune ne sont pas validées par la seule existence de Pluton.


Par la suite dans les années 1970s, les ordinateurs devenant plus communs, un modèle informatisé de cette "Planète X " comme il fut appelé, fut créé. On détermine que la Planète X devrait être entre 4 et 5 fois plus grande que la Terre. Ils calculent également la longueur et la forme de son orbite autour du Soleil ainsi que le nombre d'années nécessaire pour compléter une telle orbite

En Janvier 1981 plusieurs quotidiens relatent que l'orbite de Pluton indique que la planète X existe. La rapport indique qu'un astronome de l'Observatoire Naval des USA a indiqué lors d'une conférence de l'AAS que des irrégularités dans l'orbite de Pluton indiquent que le système solaire contient une 10ème planète

En 1982 la NASA elle-même reconnaît officiellement la possibilité de l'existence de la Planète X, en annonçant qu'un objet est bien là - bien au-delà des planètes les plus éloignées.

En 1983 avec la coopération de la NASA un groupe d'astronomes commence une étude détaillée du ciel à l'aide du Infrared Astronomical Satellite (IRAS).À l'automne de cette année, l'IRAS découvre divers objets se déplaçant au voisinage du système solaire, dont 5 comètes inconnues, quelques comètes "perdues", 4 nouveaux astéroïdes et un objet énigmatique semblable à une comète. Les titres sont "Un objet géant mystifie les astronomes" et "Un corps mystérieux trouvé dans l'espace".

Le Washington Post publie alors l'article suivant : "Un Objet Géant au Bord du Système Solaire est un Mystère. Un corps céleste peut-être aussi grand que la planète géante Jupiter et a priori assez proche de la Terre pour faire partie de ce système solaire a été découvert dans la direction de la Constellation d'Orion par un télescope en orbite nommé IRAS. Cet objet est si mystérieux que les astronomes ne savent pas s'il s'agit d'une planète, d'une comète géante, d'un "proto-étoile" qui n'a jamais été assez chaude pour devenir une étoile, une galaxie éloignée si jeune qu'elle est encore dans le processus de formation de ses premières étoiles, ou une galaxie si enveloppée de poussière qu'aucune lumière émise par ses étoiles ne filtre jamais.

Tout ce que je peux vous dire c'est que nous ne savons pas ce que c'est," dit Gerry Neugebauer, directeur scientifique de l'IRAS.

On trouve dans l'histoire diverses mentions d'une telle planète : Les sumériens l'appellent la 12ème planète ou "Nibiru" ("planète de passage"), et ont un nom pour qualifier son orbite d'approximativement 3600 ans : un "Shar".

Les babyloniens et mésopotamiens l'appellent "Marduk", Le Roi des Cieux ou le Grand Corps Céleste.

Les anciens hébreux la réfèrent comme le "Globe Ailé" en raison de sa longue orbite parmi les étoiles...

Les grecs la nomment "Némésis" (un de ses noms les plus courants).

Certains prophètes l'on nommé l'"Étoile Bleue", l'"Étoile Rouge", le "Messager Enflammé", et la "Comète de la Fatalité" parmi d'autres...

Les anciens astronomes indous nomment son orbite de 3600 ans "Treta Yuga" et la destruction qu'elle cause "Kali Yuga".


NIBIRU ET LES SUMERIENS
 

Il y a 6000 ans, la première grande civilisation sumer, fut fondée entre l'Euphrate et le Tigre, par les Sumeriens. Zecharia Sitchin, historien d'origine Russe s'intéressant aux langues, à l'histoire et à l'archéologie de l'Orient ancien, conclut en 1976 une genèse de l'homo sapiens en accord avec celle des Tibétains (si on en croit le lama Lobsang Rampa), des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel).

Les Annunakiens des mythes Sumériens, "ceux qui descendaient du ciel sur la Terre", étaient des extra-terrestres venant d'une planète encore inconnue de notre système solaire qui fait le tour du soleil en 3600 ans, la planète Nibiru.

Il est curieux de noter que les phases évolutives de l'humanité se font au rythme de 3600 ans c'est-à-dire qu'à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase civilisatrice commence. 11 000 ans Av. J.C. : l'agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique puis 3800 ans av. J.C. la civilisation sumérienne.

La dernière fois que Nibiru serait passé, était à l'époque de Moïse. 1300 - 1250 ans av J.C. Deux faits furent marquant: d'abord la manne céleste. Son explication tient au fait que Nibiru, planète-comète, aurait une queue. Celle-ci, outre des particules allant du gravier aux pierres plus grosses, contiendrait des substances pétrolifères qui au contact de notre atmosphère se précipitent telle une rosée sucrée très riche en protéines et comestible.

L'autre point serait l'ouverture de la Mer Rouge devant les Hébreux. Il s'est agi sous l'effet de l'attraction de Nibiru de remontées de plaques tectoniques qui ont momentanément scindé la mer en deux avant de s'effondrer engloutissant ainsi les Egyptiens. Dans ce cas, la Planète, sera au plus près de nous dans 250 à 300 ans par rapport à la date estimée de la vie de Moïse.

Certains de ses passages ont été catastrophiques d'autres non. En tout cas, cela valide les écrits sumériens.

Sur le cylindre (sceau) ci-dessus, les tailles des planètes montrées peuvent être considérées comme des approximations. Néanmoins, il est évident que Nibiru ait été considéré non seulement beaucoup plus grande que Pluton, mais également que la terre. Ce n'était donc pas "une roche glaciale" dans la ceinture de Kuiper. Nibiru, pour les Babyloniens, était le corps céleste lié au dieu Marduk.

En Akkadien cela signifie "l'endroit de croisement " ou "l'endroit de la transition". Mais dans la plupart des textes babyloniens Marduk est identifié avec la planète Jupiter (?).

Selon des chercheurs et ufologues, les habitants de cette planète, les Nibiriens, (ou les Anunnaki, Nephilim, Elohim, Mardukiens, etc.), atterrirent sur notre Terre pour la première fois il y a environ 450.000 ans pour sauver leur planète. Ils se mirent à extraire l'or et d'autres matières premières dont ils avaient besoin et créèrent l'homo sapiens il y a 300.000 ans environ par manipulations génétiques sur des femelles d'hominiens. Ils avaient besoin d'aide, car ils ne voulaient plus extraire eux-mêmes ces matières premières. La Mésopotamie fut leur première colonie.

Selon le mythe, les dirigeants des civilisations extra-terrestres devaient faire face à des rivalités dues à la conduite à mené face à leur création. Les hommes qui n'étaient rien d'autre que des esclaves, furent soumis à la famine, aux maladies et à des guerres biologiques.

Les textes de Mésopotamie montrent que tous ces moyens s'étant révélé inefficaces pour faire régresser la population humaine, les extra-terrestres décidèrent d'exterminer les hommes en provoquant un grand déluge.

Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA", Prince extra-terrestre de la Terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda cette"Confrérie du Serpent".

Mais la confrérie fut vaincue par d'autres groupes des extra-terrestres régnants, EA fut banni sur Terre.

De "Prince de la Terre", il devint : "Prince des ténèbres".

On enseigna alors aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.



HISTOIRE DES ANNUNAKI

Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine galaxie, dans notre bon vieux système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards d'années), la terre, alors deux fois plus grosse qu'aujourd'hui et recouverte d'eau, s'appelait Tiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat possédait alors une grosse lune (du nom de Kingu qui n'est évidemment pas celle d'aujourd'hui) qui sera plus tard destiné à devenir une planète, dont nous n'avons malheureusement pas d'autre précision (cette mystérieuse planète, autrefois Kingu, serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient ainsi être justifiées).

Une dixième planète (ou douzième corps céleste pour les anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse que Tiamat, nommée Nibiru (ou Nibirou) par les sumériens et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait également une très large orbite elliptique (d'une période de révolution égale à 3600 ans) entre Mars et Jupiter.

Nibiru (Marduk) tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite n'était pas forcément dans le plan de l'écliptique (le plan orbital des autres planètes), ce qui signifierait qu'elle n'appartenait pas au système solaire à son origine.

L'Enuma Elish (texte sacré babylonien) précise que Nibiru (Marduk) était une planète "nomade" propulsée dans le système solaire (et capturée) suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué dans le sens des aiguilles d'une montre à l'inverse du sens de rotation des autres planètes tournant autour du soleil.
Les effets gravitationnels combinés de ces autres planètes auraient alors déviés Marduk vers le centre du système solaire, en pleine formation (Les tablettes sumériennes n'y font pas allusion mais toutes n'ont sûrement pas été découvertes et un grand nombre et surtout de meilleure qualité).

La vie semble s'être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunaki pour les Sumériens et les Néfilims pour les Babyloniens et plus tard les Hébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la catastrophe.

En effet, Nibiru/Marduk s'approcha si près de ce qui était alors notre orbite, qu'une de ses lunes entra en collision avec Tiamat (les textes sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux planètes elles-mêmes) la coupant en deux.

La partie supérieure intacte de Tiamat (ainsi que sa lune principale) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle orbite entre Mars et Vénus pour devenir après un nouvel équilibre (et reconstruction géologique) notre Terre telle qu'elle est aujourd'hui. L'autre partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux pour devenir, selon les Sumériens, le "bracelet martelé" que nous appelons la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter.

à ce propos, on a repéré des trouées importantes à l'intérieur de la ceinture d'astéroïdes (diamètre de l'ordre du million de km) qu'on explique par des phénomènes de résonance avec Jupiter (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l'on pourrait également justifier par l'orbite d'un important corps planétaire qui l'aurait traversée.

Les archives sumériennes précisent que les Annunaki étaient très grands : les femmes avaient une taille de 3 à 3.50 m et les hommes de 4 à 5m. Leur durée de vie était d'environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années de Nibiru/Marduk, ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient comme tout le monde. 

Toujours selon ces archives, il y a environ 450 000 ans, les Annunaki / Néfilims durent impérativement solutionner un problème atmosphérique en liaison avec leur hiver (aphélie : point de l'orbite d'un corps tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleil est maximale) très long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d'or dans la partie supérieure de leur atmosphère afin de profiter de son fort pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à leurs besoins. Il est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une solution analogue pour lutter contre les trous de la couche d'ozone en y répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du Soleil.

Les gisements d'or sur Nibiru (Marduk) étant insuffisants, la Terre fut exploitée à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement exploité car plus proche). Les tablettes décrivent les Annunaki voyageant dans des vaisseaux spatiaux laissant sortir des flammes à l'arrière des fusées de type rocket. Cette technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre pour faire le voyage entre les 2 planètes. Ils atterrirent et s'établirent dans une région correspondant à l'Iraq actuel en constituant ainsi les premières colonies (constructions des premières villes extraterrestres).

Pour trouver de l'or, ils se rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l'Afrique (en face de l'île de Madagascar). Des ouvriers Annunaki (les dieux inférieurs comme les désignaient les Sumériens ) creusèrent et exploitèrent les premières mines d'or. Des navettes furent mises en œuvre pour transférer l'or depuis l'Afrique du Sud vers Nibiru. 100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes sont imprécis), ces ouvriers Annunaki ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent contre leur hiérarchie militaire. La solution adoptée fut la fabrication d'ouvriers hybrides par ingénierie génétique à partir du sang Annunaki (ADN) et celui de primates locaux (trop malhabiles à l'état naturel) et qu'ils se substituent aux dieux inférieurs dans te travail minier.

Les premières expériences génétiques se firent dans des récipients en argile. Cette nouvelle espèce de primates devint l'Homo sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux dans le seul but de servir d'esclaves destinés à creuser la terre et extraire son or. Notre fonction de mineur s'étendit plus tard à d'autre tâches domestiques.



NIBIRU & LE BASCULEMENT DES PÔLES...

Le jour d’un basculement des pôles important, tel qu’il en adviendra lors du prochain passage de la 12ème Planète, ne pourra être ignoré par aucun être humain de la Terre. Pour la plupart, ce sera le jour le plus terrible.

Prophéties des Hopies

Chez les indiens Hopis d'Amérique du Nord, l'une d'elles dit ceci : "Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule rangée, comme cela s'est déjà produit il y a des milliers d'années. C'est le temps de purification pour la Terre. Des changements de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors personne ne peut le savoir réellement".

Des "étoiles en une seule rangée" ? Voilà un élément qui évoque l'alignement de toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D'après cette prophétie, outre d'immenses dégâts et pertes en vies humaines, ce serait le début d'une nouvelle ère glaciaire.

Les prophéties des Hopis auraient été communiquées à leurs prophètes par le Créateur lui-même. Elles peuvent ou ne peuvent pas se concrétiser... Il s'agit donc davantage de probabilités modifiables selon la volonté du Créateur ou des hommes, d'après ce que prétendent les Hopis qui les ont faites.

Celles qui se sont réalisées sont tellement impressionnantes que le livre des prophéties des Hopis (Hotevilla) a été traduit en Français par l'Unesco (T. E. Mails, op. cit., p. 186).Prophéties des Mayas Les prophéties des Mayas sont en gros identiques à celles des Hopis. Elles indiquent que nous sommes parvenus à la fin d'un dernier cycle d'existence pour nos civilisations.

Les dates données de ce cycle correspondent pour le début au 12 août 3114 avant J. C. et au 21 décembre 2012 pour la fin... à ce moment-là notre planète est censée enregistrer de très violents séismes terriblement dévastateurs.


Prophétie de Nostradamus

L’effrayante perturbation dans l’orbite et dans le mouvement de la planète Terre est expliquée scientifiquement par le voyant Nostradamus lui-même, par l’approche d’un autre astre qui, durant sept jours, apparaîtra comme un autre soleil.

II-41
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuée fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.

"À une éclipse de soleil, dit Nostradamus, succédera l’été le plus obscur et le plus ténébreux qui ait jamais été vu depuis la création jusqu’à la passion et la mort de Jésus-Christ, et depuis ce moment jusqu’à ce jour, et c’est au mois d’octobre que se produira une grande translation, de telle sorte qu’on croira que la Terre sera sortie de son orbite et se sera abîmée dans les ténèbres éternelles".

Évidemment le problème avec Nostradamus c'est qu'on peut en déduire plusieures interprétations...


L’Apocalypse de Saint-Jean

L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom d’Absinthe, amertume, (Apoc. VIII, 11). Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’Hercolobus, est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.

Astrologie l’Inde ancienne

Les astrologues de l’Inde ancienne nommaient Yuga le cycle de 3600 années correspondant au Shar. Selon les Puranas en effet, une Ère complète dure 14400 ans (soit 4 x 3600 ans) et se divise en quatre Âges principaux articulés à partir de ce cycle : le Satya Yuga ou Âge d’Or qui dure 7200 ans (soit 2 Shars), le Treta Yuga ou Âge d’Argent qui dure 3600 ans (soit 1 Shar), le Dwapara Yuga ou Âge de Cuivre qui dure 2400 ans (soit 2 tiers de Shar), et le Kali Yuga ou Âge de Fer qui dure 1200 ans (soit le tiers restant du quatrième Shar).

Ces Âges se divisent eux-mêmes en sous-âges qui ont les mêmes noms et s’échelonnent selon le même rapport-temps (2 + 1 + 2/3 + 1/3 = 4).

Ainsi, le Kali Yuga comporte son âge d’or qui dure 600 ans, son âge d’argent qui dure 300 ans, son âge de cuivre qui dure 200 ans et son âge de fer qui dure 100 ans. La période que nous finissons actuellement de traverser correspond à l’âge de fer du Kali Yuga et s’étend du début de notre XXe siècle au retour de Nibiru et au démarrage d’un nouveau grand cycle de 14400 années (= 4 Shars).


LA MYSTÉRIEUSE PLANÈTE "X"

En 1978, 2 astronomes de l'observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la planète X.. Cette mystérieuse planète avait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon ces deux astronomes, la planète X. était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l'écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre.

En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus qu'il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e planète ou planète X.. Même la NASA en 1982 va reconnaître l'existence possible de la planète X..

Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l'espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l'Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c'est".

Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que la planète X devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l'écliptique, qu'elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre.

En 1987, la NASA reconnaît officiellement l'existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil...".

Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée "écrit" bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mors pourrait avoir fait partie de notre système solaire et pourrait bien s'y trouver encore".

Cet article rapporte la découverte par une équipe d'astronomes, l'année précédente, d'une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à une périodicité de 3300 ans. Une autre étude de l'équipe de L'observatoire de Nice Côte d'Azur, parue dans Icare suppose que l'orbite de la comète pourrait être l'oeuvre d'une planète encore invisible aussi grosse que Mars....

Bref, la mystérieuse planète alimente les conversations des astronomes ; De toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse. Mais elle n'intrigue pas que les astronomes si l'on en croit Zacharia Sitchin...

 


Voici un Crop Circle qui semble faire référence au sujet de l'approche de la 12ème planète.