jeudi 18 octobre 2012

LES ORIGINES DE L’HUMANITE AU 21/12/2012


Toutes les anciennes civilisations et textes anciens, y comprit la Bible, la Torah et le Coran, en parlent à maintes reprises. Tous les monuments anciens de taille gigantesque (à juste titre), restent un mystère de construction de part leur taille et leur complexité mathématique.
On sait aujourd’hui que les conditions atmosphériques ont induit une plus grande taille par le passé pour tous les êtres vivants. (Prouvée par la taille des fossiles d’insectes, dinosaures et autres). Les scientifiques sont bien entendu, tous d’accord sur ce point.
Des empreintes de pas découvertes en 1908, près de Glenn Rose (Texas), montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur (selon les standards modernes), mêlées avec des traces de dinosaures ! (de 120 à 130 millions d'années).


plus anciens récits attestent d’une origine extra-terrestre de géants venu coloniser la Terre. Les Sumériens expriment la genèse de l’homme par une modification génétique issue de l’homo-sapiens et de leur propre ADN. De plus, les anciens disposaient d’une connaissance astronomique et sociale, largement en avance sur nous. L’Eden était pour les Anunnaki, leur premier site colonial, (Anunnaki étant le nom donné par les Sumériens à ces fameux E.T.). L’endroit où Enki, le dieu des eaux et généticien au service d’Anu, son père et frère d’Enlil, aurait crée l’homme par voie génétique.
L’origine de ces extra-terrestres est mentionnée à plusieurs reprises comme étant la planète Nibiru. Avoisinant les 3600 ans pour sa révolution complète, elle passerait près de chez nous durant chacun de ces cycles. Historiquement, on peut calculer à partir de leur dernier passage supposé, une étrange coïncidence avec des cataclysmes majeurs dans le passé. Nibiru serait-elle l’explication de la fin de chacun des mondes ?
Car il faut savoir que géologiquement parlant, nous sommes supposément la 4ème génération d’êtres humains. Trois autres avant nous ont vus le jour puis se sont éteint dans des circonstances obscures. On cite souvent un déluge mondial, ou encore un réveil des volcans entrainant la mort par asphyxie à cause du souffre et des cendres rejetées.
Chose intéressante à noter, les Sumériens connaissaient parfaitement la position de chacune de nos planètes, y compris Pluton. Hors, nous ne connaissons son existence, sa nature et sa position depuis seulement 1930. De plus la tablette ci-dessous, traduite par Zecharia Sitchin, exprime à quel point leurs connaissances étaient grandes en matière d’astronomie, étant donné que les positions, échelles correspondent parfaitement à la réalité connue des planètes.

S’ensuit le déluge naturel ou provoqué par les Anunnaki. Selon le livre de Baruch, les Titans disparaissent avec lui, autrement dit, les géants. Les Titans seraient des fils demi-dieux. Autrement dit, mi-homme, mi-dieux. Mi-homme, mi-Anunnaki.
Cela explique en partie la construction des monuments anciens construits avec des éléments de plusieurs centaines de tonnes. Leurs connaissances mathématiques pourraient expliquer la complexité des constructions. Le déluge par ailleurs, est bien attesté par les géologues de manière unanime. Le plateau de Gizeh est un bon exemple des dégâts causés par celui-ci de par leur surface érodée. Le Sphinx et les pyramides, monuments connus et étudiés depuis plus de 60 ans, ont d’ailleurs étaient à nouveau datées il y a peu. Et ils seraient semble-t-il, beaucoup plus anciens que prévu. En fait, ces constructions, tout comme la plupart des monuments construits de manière inconnue, sont antédiluviens. A savoir,  10.500 ans pour les pyramides.  12.500 ans pour le Sphinx.
Voici une traduction faite par mes soins d’un article de Magazine.
« Un article du Magazine Strand (Décembre 1895), réimprimé dans « Traces des Géants de la religion en Irlande » par W.G. Wood-Martin, mentionne ce géant fossilisé, découvert au cours d’opérations minières dans le Comté d’Antrim, en Irlande. Parmi les articles les plus extraordinaires jamais détenus par une société de chemin de fer, la plus incroyable reste celle du géant fossilisé Irlandais, qui est en ce moment dans le dépôt situé au Nord Ouest de la rue de la compagnie de chemin de fer, à Londres. Et voici une photographie du géant. Cette figure monstrueuse est réputée pour avoir été déterrée par Monsieur Dyer, durant une prospection de minerai de fer dans le comté d’Antrim. Les principales mesures sont les suivantes :
Taille : 12 pieds, soit 3.65 mètres
Circonférence de la poitrine : 6 pieds, soit 1.82 mètres
Longueur des bras : 4 pieds, soit 1.21 mètres
Son pied droit comporte 6 orteils
Poids brut : Environs 2 Tonnes
De part son poids exceptionnel, il aura fallu une demi-douzaine d’hommes et une grue puissante pour le placer ainsi contre l’arrière du wagon. Afin d’en tirer une photographie convenable pour le Magazine Strand. Monsieur Dyer, après avoir montré le géant à Dublin, est venu en Angleterre avec sa drôle de découverte et l’a exposée à Liverpool et Manchester pour la somme de 6 pence (8 centimes d’euro), par personnes. Attirant ainsi les scientifiques, anthropologues et touristes béants. »

Le déluge à donc tout effacé ou presque, expliquant la rareté des corps de géants. De plus il est tout à fait probable que les trouvailles récentes soient mises sous clés et cachées au grand public par les lobbies Sionistes et Illuminati. (Bien qu’il existe une preuve photographique datant de 1905). Tout comme les soldats américains ont profité de l’invasion en Irak pour piller le musée de Bagdad afin de voler pas moins de 14.000 tablettes Sumériennes pour la plupart non-traduites. Et ont bombardé 800 fois plusieurs sites Sumériens alors tout juste découverts et à peine étudiés. L’Irak n’ayant pu récupérer ses trésors historiques, faute d’archives officielles, brulées par les Américains. Seules 3.000 tablettes leur furent restituées. Et il semblerait de source sure que les 11.000 tablettes restantes soient détenues actuellement par le Vatican. Le plus grand faussaire de la genèse de l‘humanité.
Il est donc très clair que les lobbies refusent que l’humanité connaisse la vérité sur ses origines. Cela étant, il est intéressant de noter que des prospecteurs d’Or ont retrouvé en 1991, de la nanotechnologie dans la vallée de l’Oural, en Russie. Ces minuscules artefacts font entre trois millimètres et trois millièmes de millimètres, ils ont tous été retrouvé dans les couches du pléistocène supérieur. Ces mini objets sont en générales de forme spiralée, ils sont constitués, d’après les études de l’Académie des Sciences russe de Syktyvkar, Moscou et St Petersburg, de tungstène, de molybdène et de cuivre. Les couches sur lesquelles ces objets furent trouvés date d’entre deux millions d’année et dix milles ans. Impensable lorsqu’on sait que pour obtenir ce genre de résultat, il faut disposer d’une technologie au moins aussi avancée que la nôtre. Mais ce n’est pas tout.  Les objets retrouvés dateraient de 300.000 ans.


Chez les Tibétains, les géants sont une partie intégrante de leur histoire. Des géants d’une taille avoisinant les 3 mètres de haut, (taille moyenne évoquée par toutes les anciennes civilisations), blonds aux yeux bleus. D’origine semble-t-il, Aryenne. Il est aisé de faire un lien avec Hitler et sa passion pour l’ésotérisme et les origines de sa race dont il a tant fait sa fierté au travers de la seconde guerre mondiale. Adepte également de la théorie de la Terre Creuse, faisant également partie des légendes Tibétaines, parlant d’une ville souterraine, nommée Agharta, faisant partie de la mythique citée de Shambhala.
Les rapports officiels actuels dénoncent évidemment une arnaque historique et géologique. Cependant, il est intéressant de noter que la théorie de la Terre Creuse n’entre absolument pas en contradiction avec la physique de notre planète. Elle écarte la théorie du noyau de fer pour remplacer celui-ci par un soleil intérieur. Certes, cela remet beaucoup d’éléments en question mais l’explication de cette théorie est tout à fait crédible et complète. A noter également que les pôles nord et sud sont actuellement contrôlés respectivement par les américains et d’après les sources d’archives, par les Nazis. Tout vol ou navigation au-delà du Pôle Nord est purement interdit par l’armée. Pour ce qui est du Pôle Sud, l’entrée serait bouchée par la calotte glaciaire.


Les archives photographiques et vidéo retrouvées après la seconde guerre mondiale, prouvent que le 3ème Reich travaillait sur une technologie nommée Vril. Cette technologie serait, (d’après les archives et témoignages), issue du monde souterrain. Apportant ainsi l’explication physique et concrète des OVNIS. Ou comment des soucoupes volantes peuvent se déplacer à des vitesses vertigineuses. Technologie réutilisée et développée durant la seconde guerre mondiale par le IIIème Reich et récupérée par les Américains durant l’opération Paper Clip.
La technologie en question repose sur le magnétisme. Deux cylindres tournant l’un sur l’autre en sens contraire et diffusant naturellement par le biais de leurs mouvements opposés, un champ magnétique entourant la soucoupe et la protégeant de tout projectile. Lui apportant donc une protection mais également une acuité à se déplacer à la verticale, tout comme à l’horizontale, et ce, sans aucune friction quelconque. Leur vitesse connue, toujours d’après les archives, serait pour le plus lent d’environs 7.000 km/h. Pour le plus rapide, 40.000 km/h. Défiant ainsi toutes les lois de la gravité.
Cette technologie apporte également son complément sur la construction des anciens monuments parsemant notre planète. S’ils étaient capable de défier la gravité pour un aéronef, alors ils devaient certainement pouvoir le faire pour déplacer des pierres de 300 tonnes chacune. Sachant que tous les bâtisseurs d’anciens sites, ont tous sans exception, (et bien au-delà de la simple complexité mathématique des monuments), réussit à déplacer des milliers de pierres pesant plusieurs tonnes, sur des kilomètres. Pour le Machu Pichu, c’est tout simplement incohérent car cette citée est perchée à une hauteur de 2045 mètres. Sans compter le fait que les routes sont quasiment impraticables à pied. Alors imaginez avec des pierres de 300 tonnes…
Pour le plateau de Gizeh, c’est tout aussi invraisemblable. La carrière la plus proche du site se trouve à pas moins de 800km. Imaginez un parcours entre Paris et Lyon pour chaque pierre. Sans oublier qu’officiellement, les égyptologues affirment que sa construction n’aurais prit que 20 ans.
La connaissance du magnétisme fut certainement relayée aux Egyptiens par la suite, car ceux-là connaissaient l’existence de la pile. D’un seul volt, certes, mais suffisant pour permettre l’électrolyse de l’or ou de l’argent par exemple. Ils savaient également beaucoup de choses sur l’astronomie, la chirurgie et tant d’autres choses qu’une civilisation de leur temps aurait du ignorer si l’on s’en tient à la version officielle des historiens. Ils savaient entre autre effectuer des trépanations. Cependant, cette connaissance chirurgicale serait bien plus ancienne selon les archéologues. Dès le Mésolithique (il y a environ 12 000 ans), l'homme se mit à pratiquer sur le crâne de ses congénères des opérations chirurgicales à l'aide d'outils de silex : les trépanations. La pratique se développa partout en Europe. Et à l'Age du Cuivre, un foyer très important se trouvait dans les Grands Causses (sud de la France).


Les crânes de cristal font également partie du mystère. Bien que la polémique autour du sujet m’empêche d’affirmer avec certitude la véracité de son existence en tant qu’objet ancien, il est important de rappeler que son origine est inconnue. Qu’aucune trace d’outils n’a pu être révélée et que sa conception est tout à fait exceptionnelle. De plus, la lumière est réfléchie uniquement depuis le dessous vers les orbites du crâne. Hors, un cristal possède des prismes aléatoires. Il est donc difficile de croire que le crâne fut naturellement parfait pour réfléchir ainsi la lumière uniquement par les orbites.
Tout en sachant que sa composition est de cristal de quartz pur. Et que la mâchoire est issue du même morceau. Malheureusement, le cristal ne vieillissant pas, il est impossible de dater ce crâne. Mais selon certaines sources non-officielles d’Amérique centrale, ce crâne aurait 12 autres jumeaux disséminés à travers le monde et seraient en réalité des sortes de disque dur, contenant des informations transmises par les Atlantes. Difficile à avaler mais pourquoi pas, au point où nous en sommes sur les révélations…


Sachant que l’humain est vraisemblablement plus ancien que prévu, il est tout à fait possible de supposer que les Atlantes furent une civilisation très ancienne, disposant d’une technologie capable d’incruster des informations dans le cristal. Voir même de ne permettre leur accès à la seule condition que les 13 crânes sont réunis en un seul et même endroit. Mais comme officiellement, seul un crâne est capable de prétendre être un original, il est peu probable que nous trouvions les 12 autres. Sauf si bien sure, ils ont été trouvés mais qu’on a préféré nous le cacher et décrédibiliser le sujet afin d’étouffer l’affaire et d’écarter tout soupçon sur la véracité de cette légende. De la même façon, les OVNI et autres histoire d’E.T. on été étiquetées comme supercherie afin d’éviter tout soupçons de la part de l’opinion publique. Heureusement, il existe encore des groupes de détracteurs pour faire front face à l’obscurantisme et la manipulation médiatique.
Mais parlons du sujet le plus controversé de ces 3 dernières années : Nibiru. Plus connue sous le nom de planète X. Je précise avant toute chose que le signe utilisé pour Nibiru chez les Sumériens, est une croix catholique. Plutôt amusant lorsqu’on sait que les trois religions ont pompée l’histoire Sumérienne après l’avoir totalement modifiée en fonction des besoins.
Une théorie assez récente explique que notre galaxie n’est en fait qu’un trou noir. Et à supposer que Nibiru soit bien une planète et qu’elle orbite de manière elliptique autour de notre galaxie (trou noir), tel qu’expliqué par Sitchin au travers de ses traductions, alors on peut supposer qu’une fois à son apogée, cette planète soit inéluctablement attirée vers l’extérieur du trou noir, pour finalement être à nouveau aspiré vers l’intérieur, (du fait de la gravité extrême du trou noir), continuant ainsi sa course vers son périgée : La Terre.


Aux dernières nouvelles, il semblerait que des chercheurs de la NASA et des astrophysiciens indépendants aient enfin levé le voile sur certaines réalités cachées au public. A savoir, l’existence même de la planète X.
Dernièrement, une vidéo circulant sur le net met en avant son existence en montrant clairement une forme sphérique située à gauche du soleil. Nous savons désormais que ce corps céleste avance en effet vers nous grâce à la NASA qui n’a pas pu démentir l’existence de cette planète et explique que celle-ci n’était jusqu’alors invisible étant dans le parcours de la comète Elenin.
La NASA a donc caché sa vraie nature durant tout ce temps car les chercheurs savent à quel point cette planète ou naine brune, est d’une importance capitale pour notre avenir à tous. Il faut bien comprendre que l’enchainement exponentiel des séismes, tsunamis, tornades et autre éruptions volcaniques à travers le monde et ce, depuis maintenant 3 ans, n’est pas dû au changement climatique mais à la position changeante de cette planète. Mais ce n’est pas tout. Un autre astre est lié à tout ceci : Le Soleil. Ces changements peuvent êtres vérifiés aisément par le biais d’internet en cherchant l’activité solaire de ces deux dernières années et les séismes en accord avec ces changements.
A l’heure où je vous parle, notre soleil est en hyper activité. Et selon toute vraisemblance, il atteindra un seuil critique le 21/12/2012. D’abord parce qu’il va terminer son cycle en cours, entrainant en ce moment même l’inversion de ses  pôles. Mais il va également engendrer des dégâts sur Terre, du fait de notre faible champ magnétique actuel. Il faut bien comprendre que notre planète est en train de subir un basculement des pôles, tout comme le soleil. Cependant, il est impossible de savoir quand aura lieu l’effet Kiss-Cool. C'est-à-dire, le point de rupture qui entrainera le changement soudain de position des pôles Nord et Sud.


Tout ce que l’on sait, c’est qu’un tel changement provoquerait la fin de notre monde moderne et nous renverrait au Moyen Age. Plus d’électricité suite à l’inversion des polarités. Rendant ainsi nos technologies inutilisables. Adieu les téléphones, les ordinateurs et autres appareils électriques ou électroniques. Nos véhicules ne fonctionneront plus, étant donné que chacun d’entre eux dépend d’une batterie pour démarrer. De plus et c’est bien là le plus inquiétant, les centrales nucléaires seront mises hors-circuit instantanément. Entrainant la fusion des cœurs, faut d’avoir un refroidissement continu, suite à quoi, une radioactivité monstrueuse et rapidement mortelle se rependra sur des kilomètres. Entrainant par la suite, l’apparition de Corium.
Et bien entendu, le meilleur pour la fin… Plus de traitement des eaux. Entrainant en moins de 3 mois, une pandémie mondiale à base de maladies et virus divers que nous avions éradiqué par le passé. Mais bien entendu, ce n’est pas une science exacte et certains scientifiques parlent d’un changement global qui n’entrainerait pas de problème électrique. Difficile à croire lorsqu’on sait que seule la magnétite ne change pas de polarité. C’est d’ailleurs grâce à cet élément que nous pouvons connaitre l’étendue des dégâts que pourrait causer un tel événement.


Quoi qu’il en soit, rien n’est certain et on peut espérer un changement d’une autre nature, comme une évolution spontanée de l’humanité. Cela peut sembler dingue mais en réalité, il est tout à fait concevable qu’un tel événement se produise. Un physicien à proposé cette théorie selon laquelle, le soleil aurait une influence directe et continue sur notre évolution et notre mental. Il semblerait que l’humain par le passé ait évolué de manière instantanée et sans explication valable. A savoir, une évolution de plusieurs millions d’années sur une période de quelques mois.
On sait également que chaque être vivant fonctionne avec de l’électricité, générée par le cœur et dépendant du champ magnétique terrestre. Si le soleil venait à s’intensifier en activité et qu’il se trouvait qu’au même moment, notre champ protecteur soit amoindri par une faible activité comme cela devrait se produire durant la fin de l’année, alors ont peut supposer que le changement soudain du taux de radiation solaire, entraine une mutation génétique soudaine, ajoutant selon les résultats de ce scientifique, deux brins d’ADN supplémentaires à chaque être vivant. Y compris les animaux donc. Sachez qu’entre l’homme et le Chimpanzé, seulement 1% nous différencie sur le plan génétique et pourtant l’intelligence est grandement différente. Ce petit détail me laisse imaginer ce que l’homme pourrait devenir s’il jouissait d’une intelligence soudainement plus avancée. Mais bien entendu, il ne s’agit là que de théories toutes aussi extraordinaires les unes que les autres.
De tout temps, l’homme à recherché cette fameuse date de la fin du monde, la fin des temps, le jugement dernier, l’apocalypse. Rien qu’en 100 ans, la liste des fins du monde s’étend à plus de 100 prédictions. Imaginez donc le nombre de fausses rumeurs qu’il y a pu avoir durant 6.000 ans. Mais il est important de comprendre que certaines prédictions parlent effectivement du 21 Décembre 2012. Elles sont nombreuses, d’époques différentes mais toujours à l’issue commune : La fin du monde tel que nous le connaissons.
On parle très souvent de la prédiction des Mayas comme de la fin du monde. Mais en réalité, il ne s’agit que de la fin d’un monde et non pas d’une apocalypse finale sans suite.  La nuance est donc énorme. C’est pour cette raison que j’aime à penser que le basculement des pôles ou bien l’évolution spontanée pourraient êtres les raisons qui changeront notre monde. Mais que vous y croyez ou non, il est amusant de constater sans effort quelconque que notre monde converge inéluctablement vers un même point de rupture depuis 2 ans. Le nombre de guerres à travers le monde ne cesse d’augmenter, (environs 70 actuellement), le nombre de catastrophes naturelles également, pas moins de 6 tremblements de terre suivis d’un tsunami rien qu’en 2011, et tant d’autres éléments étonnants comme l’activité magnétique suspecte des pyramides à travers le monde.


Beaucoup de révélations sortent jours après jours depuis le début de l’année et il semblerait que chacune apporte un peu plus de crédibilité chaque jour à la théorie du complot. Rien que la datation des pyramides de Bosnie me laisse songeur sur les découvertes à venir.
S’il m’est permis de poster une seconde partie, j’y analyserais d’autres informations sensibles, tel que les OVNI du IIIème Reich, la personnification du Soleil à travers les cultures anciennes et les véritables intentions des dirigeants et ce qui empêchent ces gens de l’ombre d’imposer leur Nouvel Ordre Mondial pour le moment.
Quoi qu’il arrive, j’espère simplement que cette analyse vous apportera sagesse, curiosité et ouverture d’esprit. Aucune vérité n’est absolue. Mais rien n’est au dessus de la vérité.

Lenox

lundi 15 octobre 2012

Rumeurs sur la planète X ou Nibiru

LA 12ème PLANÈTE SELON VELIKOVSKY

Immanuel Velikovsky était un génie du niveau d'Einstein, et c’est un fait dont font rarement mention ses détracteurs. Lui et Einstein étaient des Enfants des Étoiles, et ils étaient amis, des amis qui se confrontaient amicalement dans ces sortes de débats dans lesquels seuls deux génies peuvent se mesurer.


La mission de Velikovsky était de pousser l'humanité à réfléchir aux cataclysmes périodiques qui ont si tragiquement laissés leurs marques sur Terre et dans l'histoire de l'Homme. Tout comme Einstein, il était critiqué parce qu'il annonçait des choses que la majeure partie de l'humanité refuse d’entendre , à savoir de mauvaises nouvelles.

Des montagnes qui de toute évidence s’élevèrent dans les cieux sous l’effet d’une pression extrême, les ruines de grandes civilisations qui n'avaient aucune raison de disparaître, des carcasses de dinosaures apparemment sains et qui furent rapidement congelés sans cause de mort apparente - autant de preuves indubitables dont on n’a su que faire.

La recherche dans les domaines inexplorés se solde rarement par des conclusions que la profession juge solides. Les théories uniquement fondées sur d’autres théories ne reposent sur aucune base solide. Qu'une quelconque de ces théories soit prouvée, dans ces circonstances, relève du miracle. En conséquence, ces théories de Velikovsky qui parlent de quasi-collisions cosmiques avec la Terre sont sans fondement.

Si la planète Vénus vint à se déplacer le long d’une orbite irrégulière après un récent basculement de pôles, les bouleversements qu’a connu la Terre furent causés par le seul passage de la 12ème Planète - l'ingrédient majeur du mélange.

À l'encontre des théories de la relativité d'Einstein, les théories de Velikovsky ne peuvent véritablement être prouvées que tant que l'Étoile Rouge, la 12ème Planète, ne revient pour ravager à nouveau ce Système Solaire. Malheureusement pour ceux qui ne veulent pas entendre le propos de Velikovsky ou qui ne veulent pas regarder de près les preuves qui leur sont présentées de façon si poétique, ceux-là apprendront la vérité sur ses théories ... mais trop tard !

SITCHIN & LA 12ème PLANÈTE

Au début de sa carrière d'archéologiste, Zaccharie Sitchin fit la découverte de structures qui l'intriguèrent. Il avait un penchant pour les puzzles qui pouvaient être analysés de cette façon, par les structures qu'ils présentaient, et plus il rassemblaient de données, plus il était intrigué. Il se passionna. Le genre humain fait preuve d'une espèce d'amnésie collective en ce qui concerne les Basculements des Pôles du passé.

Sitchin rencontra des réactions similaires lorsque son puzzle, en formant des structures, révéla des cataclysmes passés, et l'existence d'une planète voyageuse que les anciens comptaient comme la 12ème planète, des humanoïdes grands et costauds qui avaient l'apparence de Dieux Grecs allant et venant de cette 12ème planète visiteuse, et la conclusion inévitable et incontournable - cela allait se produire de nouveau!

Confronté à ceux qui résistaient de façon absolue à examiner ses conclusions ou même à jeter un oeil aux faits qu'il avait si méticuleusement recueillis, Sitchin passa à la vitesse supérieure et chercha à convaincre ses détracteurs avec des preuves supplémentaires, jusqu'à ce que ses Arguments ne puissent pratiquement plus être démentis, à moins d'être en déni total.

Cependant, on voit encore de nos jour cette variété de comportement. Il y a ceux qui lisent et apprennent, ceux qui lisent et deviennent les avocats des théories de Sitchin, et ceux qui refusent de lire ou s'ils y sont contraints, refusent malgré tout d'absorber ou de traiter les faits présentés…

Traduction d'extraits de Landing on Planet Earth, pages 260-263, 178, et 201

En février 1971, les États-Unis lancèrent « Pioneer 10 ». Les scientifiques de « Pioneer 10 » lui adjoignirent une plaque d'aluminium gravée. Une tentative de dire à quiconque trouverait la plaque que le genre humain est composé d'hommes et de femmes, etc., et que (« Pioneer 10 ») vient de la 3ème planète de ce Soleil.
Notre astronomie est rivée à la notion que la Terre est la 3ème planète, ce qui est vrai si l'on compte à partir du centre de notre système, à savoir le Soleil…

Mais si quelqu'un approchait notre système de l'extérieur de celui-ci, la 1ère planète rencontrée serait Pluton, la 2ème Neptune, la 3ème Uranus, La 4ème Saturne, la 5ème Jupiter, la 6ème Mars .. et la Terre serait la 7ème.

Nous savons maintenant qu'au delà des planètes géantes Jupiter et Saturne, il se trouve d'autres planètes majeures à savoir Uranus et Neptune ainsi qu'une petite planète, Pluton. Mais nous n'en avons eu connaissance que très récemment.

Uranus a été découvert en 1781 en utilisant des télescopes plus performants. Neptune fut localisé avec précision par les astronomes (guidés par leurs calculs mathématiques) en 1846. Il devint évident que Neptune était sujet à une force perturbatrice inconnue, et Pluton (fut localisé) en 1930.

Au temps des Assyriens, le repérage céleste d'une planète associée à un dieu était souvent indiqué par un nombre approprié de symboles placés sur le côté du trône de ce dieu. Donc, une plaque représentant le dieu (Saturne) montrait 4 symboles d'étoiles sur son trône. De nombreux sceaux cylindriques et autres reliques graphiques représentent Mars comme la 6ème planète. Un sceau cylindrique montre le dieu associé à Mars siégeant sur un trône sous une étoile pointée six fois. Il est assez évident que Vénus était représentée comme une étoile pointée 8 fois. D'autres symboles sur le sceau montrent le Soleil, très semblable à ce que nous en représenterions aujourd'hui; la Lune, et la croix, le symbole de la Planète qui Passe, la 12ème Planète.

Traduction d'extraits de Kingship of Heaven, pages 246-248.

L'apparition périodique de la (12ème) Planète, et sa disparition à la visibilité de la Terre, confirme l'hypothèse de sa permanence sur une orbite solaire. Elle se comporte en cela comme de nombreuses comètes. S'il en est ainsi, pourquoi nos astronomes ne sont-ils pas au fait de l'existence de cette planète? Le fait est que même une orbite deux fois plus petite que la plus petite révolution de (la comète) Kohoutek ( 7500 ans) placerait la 12ème Planète environ six fois plus loin que Pluton - distance à laquelle on ne pourrait pas voir une telle planète. De fait, les planètes que l'on connaît au-delà de Saturne ne furent pas découvertes en premier lieu de façon visuelle, mais mathématiquement.

Les sources Mésopotamiennes et bibliques apportent des preuves solides pour que la période orbitale de la 12ème Planète soit 3600 ans.

Le nombre 3600 s'écrivait en Sumérien à l'aide d'un grand cercle. L'épithète employé pour la planète, "shar", signifiait aussi "un cercle parfait", ou "un cercle achevé". Il signifiait aussi 3600.

L'identité des trois termes - planète/orbite/3600 - ne pouvait pas être pure coïncidence.

Les périodes du règne que donne (un texte Sumérien) sont aussi des multiples parfaits du "shar" 3600 ans. Une conclusion qui s'impose d'elle-même est que ces règles du "shar" étaient associées au "shar", période orbitale de 3600 ans.

Traduction d'extraits de Kingship of Heaven, pages 242-245.

Tous les peuples anciens considéraient l'approche périodique de la 12ème Planète comme le signe de grands bouleversements, de grands changements, de nouvelles ères.

Les textes Mésopotamiens parlaient de l'apparition périodique de la planète comme d'un événement anticipé, prévisible, et observable. "La grande planète, rouge sombre à son apparition." 

Le jour lui-même a été décrit par l'Ancien Testament comme une période de pluies, d'inondations, et de tremblements de terre. Si l'on pense aux passages de la Bible comme se référant, comme leurs contreparties Mésopotamiennes, au passage dans le voisinage de la Terre d'une grosse planète avec une force de gravitation importante, les paroles d'Isaïe prennent tout leur sens : "Ils viennent d'un pays lointain, des extrémités du ciel, Yahvé et les instruments de sa colère, pour ravager tout le pays. "(Isaïe, 13-5)

Le prophète Amos a prédit de façon explicite: "Il adviendra en ce jour-là - oracle du Seigneur Yahvé - que je ferai coucher le Soleil en plein midi et que j'obscurcirai la Terre en un jour de lumière." (Amos 8-9)

Le prophète Zaccharie a informé les peuples que ce phénomène de l'arrêt de la rotation terrestre autour de son axe ne durerait qu'un jour: "Il arrivera, en ce jour-là, qu'il n'y aura plus de lumière mais du froid et du gel. Et il y aura un jour unique -Yahvé le connaît - plus de jour ni de nuit..." (Zaccharie 14-6,7)


DE DÉCOUVERTES EN DÉCOUVERTES...



Après la découverte de la planète Pluton en 1930, des astronomes s'aperçoivent rapidement que les première théories concernant les influences hypothétiques d'une telle planète sur les orbites Uranus et Neptune ne sont pas validées par la seule existence de Pluton.


Par la suite dans les années 1970s, les ordinateurs devenant plus communs, un modèle informatisé de cette "Planète X " comme il fut appelé, fut créé. On détermine que la Planète X devrait être entre 4 et 5 fois plus grande que la Terre. Ils calculent également la longueur et la forme de son orbite autour du Soleil ainsi que le nombre d'années nécessaire pour compléter une telle orbite

En Janvier 1981 plusieurs quotidiens relatent que l'orbite de Pluton indique que la planète X existe. La rapport indique qu'un astronome de l'Observatoire Naval des USA a indiqué lors d'une conférence de l'AAS que des irrégularités dans l'orbite de Pluton indiquent que le système solaire contient une 10ème planète

En 1982 la NASA elle-même reconnaît officiellement la possibilité de l'existence de la Planète X, en annonçant qu'un objet est bien là - bien au-delà des planètes les plus éloignées.

En 1983 avec la coopération de la NASA un groupe d'astronomes commence une étude détaillée du ciel à l'aide du Infrared Astronomical Satellite (IRAS).À l'automne de cette année, l'IRAS découvre divers objets se déplaçant au voisinage du système solaire, dont 5 comètes inconnues, quelques comètes "perdues", 4 nouveaux astéroïdes et un objet énigmatique semblable à une comète. Les titres sont "Un objet géant mystifie les astronomes" et "Un corps mystérieux trouvé dans l'espace".

Le Washington Post publie alors l'article suivant : "Un Objet Géant au Bord du Système Solaire est un Mystère. Un corps céleste peut-être aussi grand que la planète géante Jupiter et a priori assez proche de la Terre pour faire partie de ce système solaire a été découvert dans la direction de la Constellation d'Orion par un télescope en orbite nommé IRAS. Cet objet est si mystérieux que les astronomes ne savent pas s'il s'agit d'une planète, d'une comète géante, d'un "proto-étoile" qui n'a jamais été assez chaude pour devenir une étoile, une galaxie éloignée si jeune qu'elle est encore dans le processus de formation de ses premières étoiles, ou une galaxie si enveloppée de poussière qu'aucune lumière émise par ses étoiles ne filtre jamais.

Tout ce que je peux vous dire c'est que nous ne savons pas ce que c'est," dit Gerry Neugebauer, directeur scientifique de l'IRAS.

On trouve dans l'histoire diverses mentions d'une telle planète : Les sumériens l'appellent la 12ème planète ou "Nibiru" ("planète de passage"), et ont un nom pour qualifier son orbite d'approximativement 3600 ans : un "Shar".

Les babyloniens et mésopotamiens l'appellent "Marduk", Le Roi des Cieux ou le Grand Corps Céleste.

Les anciens hébreux la réfèrent comme le "Globe Ailé" en raison de sa longue orbite parmi les étoiles...

Les grecs la nomment "Némésis" (un de ses noms les plus courants).

Certains prophètes l'on nommé l'"Étoile Bleue", l'"Étoile Rouge", le "Messager Enflammé", et la "Comète de la Fatalité" parmi d'autres...

Les anciens astronomes indous nomment son orbite de 3600 ans "Treta Yuga" et la destruction qu'elle cause "Kali Yuga".


NIBIRU ET LES SUMERIENS
 

Il y a 6000 ans, la première grande civilisation sumer, fut fondée entre l'Euphrate et le Tigre, par les Sumeriens. Zecharia Sitchin, historien d'origine Russe s'intéressant aux langues, à l'histoire et à l'archéologie de l'Orient ancien, conclut en 1976 une genèse de l'homo sapiens en accord avec celle des Tibétains (si on en croit le lama Lobsang Rampa), des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel).

Les Annunakiens des mythes Sumériens, "ceux qui descendaient du ciel sur la Terre", étaient des extra-terrestres venant d'une planète encore inconnue de notre système solaire qui fait le tour du soleil en 3600 ans, la planète Nibiru.

Il est curieux de noter que les phases évolutives de l'humanité se font au rythme de 3600 ans c'est-à-dire qu'à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase civilisatrice commence. 11 000 ans Av. J.C. : l'agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique puis 3800 ans av. J.C. la civilisation sumérienne.

La dernière fois que Nibiru serait passé, était à l'époque de Moïse. 1300 - 1250 ans av J.C. Deux faits furent marquant: d'abord la manne céleste. Son explication tient au fait que Nibiru, planète-comète, aurait une queue. Celle-ci, outre des particules allant du gravier aux pierres plus grosses, contiendrait des substances pétrolifères qui au contact de notre atmosphère se précipitent telle une rosée sucrée très riche en protéines et comestible.

L'autre point serait l'ouverture de la Mer Rouge devant les Hébreux. Il s'est agi sous l'effet de l'attraction de Nibiru de remontées de plaques tectoniques qui ont momentanément scindé la mer en deux avant de s'effondrer engloutissant ainsi les Egyptiens. Dans ce cas, la Planète, sera au plus près de nous dans 250 à 300 ans par rapport à la date estimée de la vie de Moïse.

Certains de ses passages ont été catastrophiques d'autres non. En tout cas, cela valide les écrits sumériens.

Sur le cylindre (sceau) ci-dessus, les tailles des planètes montrées peuvent être considérées comme des approximations. Néanmoins, il est évident que Nibiru ait été considéré non seulement beaucoup plus grande que Pluton, mais également que la terre. Ce n'était donc pas "une roche glaciale" dans la ceinture de Kuiper. Nibiru, pour les Babyloniens, était le corps céleste lié au dieu Marduk.

En Akkadien cela signifie "l'endroit de croisement " ou "l'endroit de la transition". Mais dans la plupart des textes babyloniens Marduk est identifié avec la planète Jupiter (?).

Selon des chercheurs et ufologues, les habitants de cette planète, les Nibiriens, (ou les Anunnaki, Nephilim, Elohim, Mardukiens, etc.), atterrirent sur notre Terre pour la première fois il y a environ 450.000 ans pour sauver leur planète. Ils se mirent à extraire l'or et d'autres matières premières dont ils avaient besoin et créèrent l'homo sapiens il y a 300.000 ans environ par manipulations génétiques sur des femelles d'hominiens. Ils avaient besoin d'aide, car ils ne voulaient plus extraire eux-mêmes ces matières premières. La Mésopotamie fut leur première colonie.

Selon le mythe, les dirigeants des civilisations extra-terrestres devaient faire face à des rivalités dues à la conduite à mené face à leur création. Les hommes qui n'étaient rien d'autre que des esclaves, furent soumis à la famine, aux maladies et à des guerres biologiques.

Les textes de Mésopotamie montrent que tous ces moyens s'étant révélé inefficaces pour faire régresser la population humaine, les extra-terrestres décidèrent d'exterminer les hommes en provoquant un grand déluge.

Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA", Prince extra-terrestre de la Terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda cette"Confrérie du Serpent".

Mais la confrérie fut vaincue par d'autres groupes des extra-terrestres régnants, EA fut banni sur Terre.

De "Prince de la Terre", il devint : "Prince des ténèbres".

On enseigna alors aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.



HISTOIRE DES ANNUNAKI

Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine galaxie, dans notre bon vieux système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards d'années), la terre, alors deux fois plus grosse qu'aujourd'hui et recouverte d'eau, s'appelait Tiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat possédait alors une grosse lune (du nom de Kingu qui n'est évidemment pas celle d'aujourd'hui) qui sera plus tard destiné à devenir une planète, dont nous n'avons malheureusement pas d'autre précision (cette mystérieuse planète, autrefois Kingu, serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient ainsi être justifiées).

Une dixième planète (ou douzième corps céleste pour les anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse que Tiamat, nommée Nibiru (ou Nibirou) par les sumériens et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait également une très large orbite elliptique (d'une période de révolution égale à 3600 ans) entre Mars et Jupiter.

Nibiru (Marduk) tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite n'était pas forcément dans le plan de l'écliptique (le plan orbital des autres planètes), ce qui signifierait qu'elle n'appartenait pas au système solaire à son origine.

L'Enuma Elish (texte sacré babylonien) précise que Nibiru (Marduk) était une planète "nomade" propulsée dans le système solaire (et capturée) suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué dans le sens des aiguilles d'une montre à l'inverse du sens de rotation des autres planètes tournant autour du soleil.
Les effets gravitationnels combinés de ces autres planètes auraient alors déviés Marduk vers le centre du système solaire, en pleine formation (Les tablettes sumériennes n'y font pas allusion mais toutes n'ont sûrement pas été découvertes et un grand nombre et surtout de meilleure qualité).

La vie semble s'être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunaki pour les Sumériens et les Néfilims pour les Babyloniens et plus tard les Hébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la catastrophe.

En effet, Nibiru/Marduk s'approcha si près de ce qui était alors notre orbite, qu'une de ses lunes entra en collision avec Tiamat (les textes sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux planètes elles-mêmes) la coupant en deux.

La partie supérieure intacte de Tiamat (ainsi que sa lune principale) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle orbite entre Mars et Vénus pour devenir après un nouvel équilibre (et reconstruction géologique) notre Terre telle qu'elle est aujourd'hui. L'autre partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux pour devenir, selon les Sumériens, le "bracelet martelé" que nous appelons la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter.

à ce propos, on a repéré des trouées importantes à l'intérieur de la ceinture d'astéroïdes (diamètre de l'ordre du million de km) qu'on explique par des phénomènes de résonance avec Jupiter (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l'on pourrait également justifier par l'orbite d'un important corps planétaire qui l'aurait traversée.

Les archives sumériennes précisent que les Annunaki étaient très grands : les femmes avaient une taille de 3 à 3.50 m et les hommes de 4 à 5m. Leur durée de vie était d'environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années de Nibiru/Marduk, ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient comme tout le monde. 

Toujours selon ces archives, il y a environ 450 000 ans, les Annunaki / Néfilims durent impérativement solutionner un problème atmosphérique en liaison avec leur hiver (aphélie : point de l'orbite d'un corps tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleil est maximale) très long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d'or dans la partie supérieure de leur atmosphère afin de profiter de son fort pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à leurs besoins. Il est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une solution analogue pour lutter contre les trous de la couche d'ozone en y répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du Soleil.

Les gisements d'or sur Nibiru (Marduk) étant insuffisants, la Terre fut exploitée à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement exploité car plus proche). Les tablettes décrivent les Annunaki voyageant dans des vaisseaux spatiaux laissant sortir des flammes à l'arrière des fusées de type rocket. Cette technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre pour faire le voyage entre les 2 planètes. Ils atterrirent et s'établirent dans une région correspondant à l'Iraq actuel en constituant ainsi les premières colonies (constructions des premières villes extraterrestres).

Pour trouver de l'or, ils se rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l'Afrique (en face de l'île de Madagascar). Des ouvriers Annunaki (les dieux inférieurs comme les désignaient les Sumériens ) creusèrent et exploitèrent les premières mines d'or. Des navettes furent mises en œuvre pour transférer l'or depuis l'Afrique du Sud vers Nibiru. 100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes sont imprécis), ces ouvriers Annunaki ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent contre leur hiérarchie militaire. La solution adoptée fut la fabrication d'ouvriers hybrides par ingénierie génétique à partir du sang Annunaki (ADN) et celui de primates locaux (trop malhabiles à l'état naturel) et qu'ils se substituent aux dieux inférieurs dans te travail minier.

Les premières expériences génétiques se firent dans des récipients en argile. Cette nouvelle espèce de primates devint l'Homo sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux dans le seul but de servir d'esclaves destinés à creuser la terre et extraire son or. Notre fonction de mineur s'étendit plus tard à d'autre tâches domestiques.



NIBIRU & LE BASCULEMENT DES PÔLES...

Le jour d’un basculement des pôles important, tel qu’il en adviendra lors du prochain passage de la 12ème Planète, ne pourra être ignoré par aucun être humain de la Terre. Pour la plupart, ce sera le jour le plus terrible.

Prophéties des Hopies

Chez les indiens Hopis d'Amérique du Nord, l'une d'elles dit ceci : "Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule rangée, comme cela s'est déjà produit il y a des milliers d'années. C'est le temps de purification pour la Terre. Des changements de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors personne ne peut le savoir réellement".

Des "étoiles en une seule rangée" ? Voilà un élément qui évoque l'alignement de toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D'après cette prophétie, outre d'immenses dégâts et pertes en vies humaines, ce serait le début d'une nouvelle ère glaciaire.

Les prophéties des Hopis auraient été communiquées à leurs prophètes par le Créateur lui-même. Elles peuvent ou ne peuvent pas se concrétiser... Il s'agit donc davantage de probabilités modifiables selon la volonté du Créateur ou des hommes, d'après ce que prétendent les Hopis qui les ont faites.

Celles qui se sont réalisées sont tellement impressionnantes que le livre des prophéties des Hopis (Hotevilla) a été traduit en Français par l'Unesco (T. E. Mails, op. cit., p. 186).Prophéties des Mayas Les prophéties des Mayas sont en gros identiques à celles des Hopis. Elles indiquent que nous sommes parvenus à la fin d'un dernier cycle d'existence pour nos civilisations.

Les dates données de ce cycle correspondent pour le début au 12 août 3114 avant J. C. et au 21 décembre 2012 pour la fin... à ce moment-là notre planète est censée enregistrer de très violents séismes terriblement dévastateurs.


Prophétie de Nostradamus

L’effrayante perturbation dans l’orbite et dans le mouvement de la planète Terre est expliquée scientifiquement par le voyant Nostradamus lui-même, par l’approche d’un autre astre qui, durant sept jours, apparaîtra comme un autre soleil.

II-41
La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuée fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.

"À une éclipse de soleil, dit Nostradamus, succédera l’été le plus obscur et le plus ténébreux qui ait jamais été vu depuis la création jusqu’à la passion et la mort de Jésus-Christ, et depuis ce moment jusqu’à ce jour, et c’est au mois d’octobre que se produira une grande translation, de telle sorte qu’on croira que la Terre sera sortie de son orbite et se sera abîmée dans les ténèbres éternelles".

Évidemment le problème avec Nostradamus c'est qu'on peut en déduire plusieures interprétations...


L’Apocalypse de Saint-Jean

L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom d’Absinthe, amertume, (Apoc. VIII, 11). Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’Hercolobus, est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.

Astrologie l’Inde ancienne

Les astrologues de l’Inde ancienne nommaient Yuga le cycle de 3600 années correspondant au Shar. Selon les Puranas en effet, une Ère complète dure 14400 ans (soit 4 x 3600 ans) et se divise en quatre Âges principaux articulés à partir de ce cycle : le Satya Yuga ou Âge d’Or qui dure 7200 ans (soit 2 Shars), le Treta Yuga ou Âge d’Argent qui dure 3600 ans (soit 1 Shar), le Dwapara Yuga ou Âge de Cuivre qui dure 2400 ans (soit 2 tiers de Shar), et le Kali Yuga ou Âge de Fer qui dure 1200 ans (soit le tiers restant du quatrième Shar).

Ces Âges se divisent eux-mêmes en sous-âges qui ont les mêmes noms et s’échelonnent selon le même rapport-temps (2 + 1 + 2/3 + 1/3 = 4).

Ainsi, le Kali Yuga comporte son âge d’or qui dure 600 ans, son âge d’argent qui dure 300 ans, son âge de cuivre qui dure 200 ans et son âge de fer qui dure 100 ans. La période que nous finissons actuellement de traverser correspond à l’âge de fer du Kali Yuga et s’étend du début de notre XXe siècle au retour de Nibiru et au démarrage d’un nouveau grand cycle de 14400 années (= 4 Shars).


LA MYSTÉRIEUSE PLANÈTE "X"

En 1978, 2 astronomes de l'observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la planète X.. Cette mystérieuse planète avait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon ces deux astronomes, la planète X. était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l'écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre.

En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus qu'il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e planète ou planète X.. Même la NASA en 1982 va reconnaître l'existence possible de la planète X..

Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l'espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l'Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c'est".

Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que la planète X devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l'écliptique, qu'elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre.

En 1987, la NASA reconnaît officiellement l'existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil...".

Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée "écrit" bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mors pourrait avoir fait partie de notre système solaire et pourrait bien s'y trouver encore".

Cet article rapporte la découverte par une équipe d'astronomes, l'année précédente, d'une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à une périodicité de 3300 ans. Une autre étude de l'équipe de L'observatoire de Nice Côte d'Azur, parue dans Icare suppose que l'orbite de la comète pourrait être l'oeuvre d'une planète encore invisible aussi grosse que Mars....

Bref, la mystérieuse planète alimente les conversations des astronomes ; De toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse. Mais elle n'intrigue pas que les astronomes si l'on en croit Zacharia Sitchin...

 


Voici un Crop Circle qui semble faire référence au sujet de l'approche de la 12ème planète.




lundi 1 octobre 2012

Einstein n'a pas découvert de théories, il se les est simplement appropriées.


Einstein, c'était juste un imposteur qui a plagié les travaux de Poincarré (la relativité c'était  lui) et qui a contribué  à la ruine de l'authentique génie Nicolas Tesla, decouvreur d'une énergie gratuite non polluante.
D'ailleurs, si les inventions de Tesla avaient étés démocratisées, le projet d'empire énergétique sioniste n'aurait jamais pu voir le jour. les travaux d'Einstein s'inscrivent donc dans la continuité de ce projet.

Toutes ses belles citations qui fleurissent un peu partout (et qu'il a sans doute répétées tel un perroquet ) ne sauraient nous faire oublier que son influence a été l'une des plus néfastes que le genre humain ait eu à subir.
Des millions d'être humains meurent chaque année à cause de la pollution générée par les moteurs à combustions voir celle des centrales nucléaires, même la biosphère de notre planète en paye le prix fort.

Apparemment le jeu en vaut la chandelle et quand les goyim devront les implorer les sionistes pour obtenir un peu de pétrole ou de gaz, ces derniers auront sûrement une pensée émue pour l'un des plus grands charlatans que le monde ait jamais connu.



Video : Einstein a plagié Poincarré : 
Un article paru dans la revue Nexus :

Les défenseurs d'Einstein (1879-1955), ont agi d'une manière qui apparaît comme une falsification de l'histoire. Celui qui a été déclaré "L'Homme du Siècle" par Time Magazine a écrit un long traité sur la relativité restreinte ("Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement"), sans citer aucune référence. Avant qu'Einstein n'écrive ce fameux traité, beaucoup des idées présentées étaient connues de Lorentz (par exemple, la transformation de Lorentz) et de Poincaré. 

C'est assez typique chez Einstein. Il n'a pas découvert de théories, il se les est simplement appropriées. Il a puisé un ensemble de connaissances existantes, il a cueilli et choisi les idées qui lui plaisaient et les a entremêlées ensemble pour fabriquer un conte sur sa contribution à la relativité restreinte. Ceci a été fait avec la connaissance pleine et entière et le consentement de ses pairs, et notamment des éditeurs des Annalen der Physik. 
et de conspiration du silence; c'est en restant simplement spectateurs qu'ils ont permis la mise en place d'une hyperinflation de la réputation d'Einstein. Ce silence a bénéficié à tous les supporters d'Einstein.
Einstein, le Plagiaire
C'est maintenant le moment de dire carrément ce que fut Einstein : d'abord et surtout, il a été un plagiaire. Il n'a eu aucun scrupule de voler le travail des autres et de le publier comme si c'était le sien. Il semble évident que cela a été fait délibérément.
Prenez ce passage de Ronald W. Clark dans Einstein: The Life and Times (on n'y trouve aucune référence à Poincaré, juste quelques renvois mineurs). On y lit page 101: "Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement" ...est sous bien des aspects l'un des plus remarquables papiers scientifiques qui ait jamais été publié. Même dans sa forme et dans son style, il est inhabituel, avec l'absence de notes et de références qui donnent du poids aux plus sérieux développements" ...(!)
Pourquoi Einstein, avec son expérience de spécialiste de brevets, n'aurait-il pas éprouvé le besoin de citer des références dans son article sur la relativité ?  On aurait pu penser qu'Einstein, un néophyte, aurait surréférencé plutôt que sousréférencé.
N'aurait-on pas pu également attendre un meilleur sérieux de la part d'un éditeur placé devant un long manuscrit qui, de toute évidence, n'avait pas été contrôlé ? Apparemment, il n'y a eu aucune recherche de contrôle de qualité quand il a été publié dans les Annalen der Physik. Des éditeurs plus compétents auraient rejeté le papier sans même l'avoir lu. Au grand minimum, on aurait pu attendre de l'éditeur qu'il fasse une recherche dans la littérature existante pour déterminer si la prétention d'Einstein à la nouveauté était justifiée. 
Max Born a déclaré : "Le point qui choque est qu'il ne contient pas la moindre référence à la littérature antérieure" (Born, 1956). Il  indique clairement que l'absence de références est anormal et que, même avec les habitudes du début du 20ème siècle, ceci est des plus bizarres, on peut même dire non professionnel.
Einstein a biaisé et entortillé les choses pour éviter d'être accusé de plagiat, c'est transparent.
Bjerknes, en 2002, signale le passage suivant écrit par James MacKaye: "L'explication de la conduite d'Einstein est qu'il veut se cacher derrière Lorentz. Ainsi la théorie d'Einstein n'est ni le refus ni une alternative de celle de Lorentz : ça en est seulement la copie et le camouflage.  Einstein maintient continuellement que la théorie de Lorentz est bonne, et qu'il n'est en désaccord que sur son "interprétation". Il n'apparaît donc pas clairement si, dans ce cas comme dans d'autres, la théorie d' Einstein est simplement le déguisement de celle de  Lorentz, le désaccord sur l' "interprétation" étant en fait purement verbal.
Poincaré a écrit 30 livres et plus de 500 papiers sur la philosophie, les mathématiques et la physique. Einstein a écrit sur les mathématiques, la physique et la philosophie, mais prétend qu'il n'a jamais lu les contributions de Poincaré sur la physique.
Cependant, beaucoup des idées de Poincaré - par exemple, que la vitesse de la lumière est une limite et que la masse augmente avec la vitesse - refont surface dans le papier d'Einstein, "Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement" sans avoir été référencées.
L'attitude d'Einstein de voler la presque totalité de la littérature écrite par Lorentz et Poincaré pour écrire son document atteint le niveau du plagiat. Mais à l'âge de l'informatique cette sorte de plagiat ne peut jamais rester indéfiniment ignorée, bien que la communauté des physiciens n'en ait pas encore pris réellement conscience.
Dans son papier de 1907, Einstein exprime sa conception du plagiat : "Il m'apparaît qu'il est dans la nature des choses que ce qui suit ait déjà été partiellement solutionné par d'autres. Malgré celà, étant donné que le sujet concerné est ici traité d'un point de vue différent je me sens délié d'avoir à faire une recherche approfondie dans la littérature ..."
Avec cette déclaration, Einstein considère que le plagiat, lorsqu'il est convenablement camouflé est un acceptable outil de recherche.
Voici la définition du mot "plagier" extrait d'une source inattaquable : le Webster's New International Dictionary of the English Language, Second Edition, Unabridged, 1947, p. 1,878: "Voler ou détourner et faire passer comme étant siennes, les idées, mots, productions artistiques, etc. d'un autre;utiliser sans le signaler clairement les idées, expressions ou productions d'un autreCommettre un plagiat". N'est-ce pas exactement ce qu'a fait Einstein ?
Reconnaître le mérite d'un autre comporte deux aspects ; dans le temps et dans la forme.  Dire 30 ans après les faits que Lorentz a établi les bases de la relativité restreinte (voir plus bas) n'est pas convenable et n'est pas une vraie reconnaissance. Rien de ce que Einstein a pu écrire, bien après coup, sur les contributions de Lorentz ne peut effacer la réalité du plagiat.
La vraie nature du plagiat d'Einstein apparaît dans son papier de 1935,  "Elementary Derivation of the Equivalence of Mass and Energy", où dans une discussion sur Maxwell il écrit : "La question est de savoir si l'indépendance de ces relations est naturelle, parce que la transformation de Lorentz, la véritable base de la théorie de la relativité restreinte...
Ainsi, Einstein avoue que la transformation de Lorentz était la véritable base de son papier de 1905.  Quiconque conserve un doute qu'il fut un plagiaire doit se poser la simple question :  "Que savait Einstein, et quand l'a-t-il su ?" Einstein a commis un plagiat prémédité, pas un plagiat accidentel qui peut toujours arriver (Moody, 2001).

L'histoire de  E = mc2
Qui est à l'origine du concept que la matière peut être transformée en énergie, et vice versa ? Cela remonte au moins à Sir Isaac Newton (1704).  Brown (1967) dit ce qui suit :   "Ainsi, progressivement, est apparue la formule E = mc2, suggérée sans preuves réelles par Poincaré en 1900".
Ce qui est certain, c'est qu'Einstein n'est pas l'auteur de l'équation E = mc2.
Et la question devient : "Qui est l'auteur ?"
Bjerknes (2002) a suggéré comme candidat possible S. Tolver Preston, qui " a formulé l'énergie atomique, la bombe atomique et la supra conductivité dans les années 1870, en se basant sur la formule E = mc2".
En plus de Preston, un acteur important dans l'histoire de E = mc2, qui mérite crédit, est Olinto De Pretto (1904). Ce qui rend cette date suspecte est le fait qu'Einstein parlait couramment l'italien, qu'il a revu des papiers écrits par des physiciens italiens et que son meilleur ami était Michele Besso, un Suisse italien. Il est clair qu'Einstein, en1905, aurait pu avoir accès à la littérature et qu'il pouvait la lire. Dans la phrase "la formule E = mc2 d'Einstein était une idée italienne" (Carroll, 1999), nous avons une évidence assez claire que De Pretto précédait Einstein en ce qui concerne la formule E = mc2.
En ce qui concerne la compréhension qu'une énergie considérable pouvait être dégagée d'une masse faible, Preston (1875) peut être crédité de l'avoir su avant même qu'Einstein soit né. Preston a utilisé la formule E = mc2 dans son travail, puisque la valeur qu'il a calculée - à savoir qu'un grain peut permettre de hisser un objet de 100 000 tonnes à une hauteur de 1.9 miles - satisfait à l'équation E = mc2.
Selon Ives (1952), l'exploitation qu'Einstein a tenté de faire de la formule E = mc2 était fatalement défectueuse car Einstein cherchait à prouver ce qu'il supposait. C'est la même chose pour le manque de soin avec lequel il a traité les équations de la décroissance de la radioactivité. Il en ressort qu'Einstein a mélangé cinématique et mécanique, et a éliminé le neutrino. Le neutrino peut être une particule mythique accidentellement créée par Einstein (Carezani, 1999). Nous avons deux choix pour ce qui est du neutrino : ou bien il y en a d'au moins 40 sortes, ou bien il y en a zéro.

L'éclipse de 1919
Il n'y a pas de plus clair exemple de fraude scientifique que celle venue des Tropiques le 29 Mai 1919. Ce qui est particulièrement clair, c'est que Eddington a falsifié les données de l'éclipse de soleil de manière à rendre les résultats conformes aux travaux d' "Einstein" sur la relativité générale. Poor (1930), Brown (1967), Clark (1984) et McCausland (2001), tous ont publié les résultats concernant cette éclipse.
Ce qui rend les expéditions à Sobral et à Principe si suspectes est le support zélé d'Eddington à Einstein, comme on peut le voir dans sa déclaration : "En faisant principalement des essais, et finalement en vérifiant la théorie ennemie, notre observatoire national a perpétué les plus belles traditions de la science ..." (Clark, 1984). Dans cette circonstance, Eddington n'était pas apparemment familier des principes de base du scientifique qui était de collecter les données et non de vérifier les théorie d'Einstein.
Une preuve supplémentaire de la fraude peut être déduite des propres déclarations d'Eddington et de la présentation qui en a été faite par Clark (ibid., p. 285): "Le 29 Mai débuta avec une forte pluie qui ne se calma seulement qu'aux environs de midi. Ce n'est pas avant 1h30 de l'après midi, alors que l'éclipse avait déjà commencé, que l'équipe put jeter son premier regard sur le soleil : Nous avions à exécuter notre programme de photographies à l'aveuglette...".   Eddington révèle son véritable préjudice : il était prêt à faire n'importe quoi pour prouver qu'Einstein avait raison. Mais Eddington n'était pas homme à se décourager : "Tout se passait comme si nos efforts, au moins pour ce qui concerne l'expédition de Principe, allaient devoir échouer";  "Nous developpâmes les photographies, deux chaque nuit pendant les six nuits suivant l'éclipse. Le temps nuageux avait contrarié mes planset j'eus à traiter les mesures d'une manière différente de ce que j'avais prévu : en conséquence je n'avais pu faire aucune déclaration préalable du résultat" (Clark, ibid.).
En réalité, les mots d'Eddington concernant le résultat remplissent des volumes.  Dès qu'il a eu trouvé un fragment de preuve ayant quelque consistence avec la théorie de la relativité générale d'Einstein, il a immédiatement proclamé que c'était une preuve de la théorie. Est-ce cela la science ?
Où étaient les astronomes quand Eddington a présenté ses conclusions ? L'un d'entre eux a-t-il devant Eddington regardé réellement les plaques photographiques ? Poor le fit et il a complètement réfuté les conclusions d'Eddington. Cela aurait dû stopper n'importe quel scientifique honnête. 
Voici quelques citations prises dans le commentaire de Poor : "La formule mathématique avec laquelle Einstein a calculé sa déviation de 1.75 secondes des rayons lumineux passant au bord du soleil, est une formule simple et bien connue de l'optique physique";  "Il n'y a là dedans pas un seul concept fondamental de temps variable, d'espace déformé ou tordu, de simultanéité, ou de mouvement relatif qui soit de manière quelconque impliqué dans les prédictions ou les formules d'Einstein concernant la déviation de la lumière"; "On a donné une importance imaginaire aux nombreuses et minutieuses expéditions qui ont été organisées pour les éclipses. Leurs résultats ne peuvent ni prouver, ni désapprouver la théorie de la relativité"  (Poor, 1930).
Par Brown (1967), nous apprenons que Eddington n'avait pas pu attendre pour informer la communauté mondiale que la théorie d'Einstein était confirmée. Ce sur quoi Eddington se basait était un jugement prématuré des plaques photographiques. Tout d'abord, les étoiles "semblaient" se courber comme elles l'auraient dû, selon Einstein, mais  ensuite, selon Brown, l'imprévu arriva : quelques étoiles pouvaient être observées se courbant dans une direction perpendiculaire à celle prévue tandis que d'autres se courbaient même dans la direction opposée à celle prévue par la relativité.
L'absurdité des données collectées durant l'éclipse de 1919 fut démontrée par Poor (1930), qui attira l'attention sur le fait que 85% des données de l'éclipse Sud-Américaine avaient été éliminées au motif "d'erreurs accidentelles", c'est à dire contraires à Einstein. Par une étrange coïncidence les 15 % de bons résultats satisfaisaient aux lois d'Einstein.  En quelque sorte, les étoiles qui ne suivaient pas les lois d'Einstein étaient commodément mises hors jeu temporairement - et c'est ainsi que débuta le mythe.
C'est ainsi que, sur la base d'une poignée de données ambigües, 200 ans de théories, d'expérimentation et d'observations ont été mises au panier pour faire place à Einstein. Encore maintenant, les expériences discréditées d'Eddington sont toujours considérées comme l'Evangile pour Stephen Hawking (1999). On peut difficilement comprendre comment Hawking peut affirmer que " La nouvelle théorie de l'espace-temps courbe appelée relativité générale a été confirmée de manière éclatante en 1919, lorsqu'une expédition britannique en Afrique de l'Ouest a observé lors d'une éclipse un léger glissement dans la position des étoiles près du soleil. Leur lumière, comme Einstein l'avait prédit, fut incurvée lorsqu'elles passèrent derrière le soleil. Ce fut une preuve directe que l'espace et le temps se déforment". Hawking croit-il honnêtement qu'une poignée de données, plus soigneusement triturées que le flanc d'un boeuf de Kobé, peut constituer une base pour jeter par dessus bord un paradigme qui a survécu à deux siècles d'examens minutieux ?  
La véritable question, cependant, est : "Où était Einstein dans tout cela ?".  Au moment où il a écrit son papier de 1935 il avait sûrement connaissance du travail de Poor :  "Les réels déplacements d'étoiles, s'ils sont confirmés, n'ont pas la plus petite ressemblance avec les déviations prédites par Einstein :  ils ne sont conformes ni pour la direction, ni la taille, ni le taux de décroissance en fonction de leur distance au soleil". Pourquoi ne les a-t-il pas mentionnés et émis un papier sur ce qui contredisait complètement son travail ? Pourquoi les partisans d'Einstein n'ont-ils pas essayé de rectifier les fausses données de 1919 ?
Ce qui les rend si prudents est le fait que, à la fois les instruments et les conditions matérielles, ne permettent pas d'effectuer des mesures de grande précision. Ainsi que le British Institute of Precise Physics  l'a signalé dans un article Internet paru en 2002, les instruments de visées utilisés dans les expéditions n'étaient précis qu'à seulement 1/25ème de degré. Ceci pour les seuls instruments de visées, alors qu'Eddington prétendait lire des valeurs plus de 200 fois plus précises...
McCausland, en 2001, cite le précédent éditeur de Nature, Sir John Maddox: "Ils  [Crommelin and Eddington] étaient résolus à mesurer la déviation de la lumière";  "Ce qui n'est pas très connu, c'est que les mesures faites en 1919 n'étaient pas particulièrement précises ";  "En dépit du fait que les preuves expérimentales en faveur de la relativité semblent avoir été tout à fait fragiles en 1919, la renommée énorme d'Einstein est demeurée intacte et sa théorie a dès lors été tenue comme étant l'un des plus grands succès de la pensée humaine" 
Il est clair, d'après le contexte, que Eddington n'était en aucune façon intéressé à tester la théorie d'Einstein; il ne voulait que la confirmer.   L'un des facteurs qui a motivé Eddigton dans sa décision de promouvoir Einstein a été que tous deux partageaient une même vision politique : le pacifisme. Pour suggérer que la politique n'a tenu aucun rôle dans son chaleureux support d'Einstein, il suffit de poser une question: "Eddington aurait-il été si attentif pour supporter Einstein, si Einstein avait été un faucon ?  Ceci n'est pas une question innocente. Eddington a tenu très sérieusement son rôle de grand faiseur de paix. Il voulait rassembler les scientifiques Britanniques et Allemands après la première guerre mondiale. Quoi de mieux que d'élever l'"ennemi" théoricien Einstein à un statut élevé ? Dans son zèle de faiseur de paix, Eddington a perdu l'objectivité fondamentale qui est la conduite essentielle de tout vrai scientifique. Eddington a cessé d'être un scientifique et, à la place, est devenu un avocat d'Einstein.
La falsification évidente des données par Eddington et consorts est une subversion éhontée du progrès scientifique et peut avoir égaré la recherche scientifique pour une bonne part du siècle. Elle dépasse probablement l'Homme de Piltdown comme étant le plus grand canular de la science du 20ème siècle. On peut poser la question : "Quel a été le canular du siècle ?" et répondre "C'est le rapport de l'éclipse de 1919 de la Royal Society qui a dupé le monde pendant 80 ans!"  McCausland déclare que "Dans son opinion, l'annonce outrecuidante de la confirmation décisive de la théorie de la relativité générale d'Einstein en Novembre 1919 ne fut pas un moment glorieux pour la science, comme on la présente généralement, mais l'un des plus graves accidents dans l'histoire de la science du 20ème siècle."