lundi 1 octobre 2012

Einstein n'a pas découvert de théories, il se les est simplement appropriées.


Einstein, c'était juste un imposteur qui a plagié les travaux de Poincarré (la relativité c'était  lui) et qui a contribué  à la ruine de l'authentique génie Nicolas Tesla, decouvreur d'une énergie gratuite non polluante.
D'ailleurs, si les inventions de Tesla avaient étés démocratisées, le projet d'empire énergétique sioniste n'aurait jamais pu voir le jour. les travaux d'Einstein s'inscrivent donc dans la continuité de ce projet.

Toutes ses belles citations qui fleurissent un peu partout (et qu'il a sans doute répétées tel un perroquet ) ne sauraient nous faire oublier que son influence a été l'une des plus néfastes que le genre humain ait eu à subir.
Des millions d'être humains meurent chaque année à cause de la pollution générée par les moteurs à combustions voir celle des centrales nucléaires, même la biosphère de notre planète en paye le prix fort.

Apparemment le jeu en vaut la chandelle et quand les goyim devront les implorer les sionistes pour obtenir un peu de pétrole ou de gaz, ces derniers auront sûrement une pensée émue pour l'un des plus grands charlatans que le monde ait jamais connu.



Video : Einstein a plagié Poincarré : 
Un article paru dans la revue Nexus :

Les défenseurs d'Einstein (1879-1955), ont agi d'une manière qui apparaît comme une falsification de l'histoire. Celui qui a été déclaré "L'Homme du Siècle" par Time Magazine a écrit un long traité sur la relativité restreinte ("Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement"), sans citer aucune référence. Avant qu'Einstein n'écrive ce fameux traité, beaucoup des idées présentées étaient connues de Lorentz (par exemple, la transformation de Lorentz) et de Poincaré. 

C'est assez typique chez Einstein. Il n'a pas découvert de théories, il se les est simplement appropriées. Il a puisé un ensemble de connaissances existantes, il a cueilli et choisi les idées qui lui plaisaient et les a entremêlées ensemble pour fabriquer un conte sur sa contribution à la relativité restreinte. Ceci a été fait avec la connaissance pleine et entière et le consentement de ses pairs, et notamment des éditeurs des Annalen der Physik. 
et de conspiration du silence; c'est en restant simplement spectateurs qu'ils ont permis la mise en place d'une hyperinflation de la réputation d'Einstein. Ce silence a bénéficié à tous les supporters d'Einstein.
Einstein, le Plagiaire
C'est maintenant le moment de dire carrément ce que fut Einstein : d'abord et surtout, il a été un plagiaire. Il n'a eu aucun scrupule de voler le travail des autres et de le publier comme si c'était le sien. Il semble évident que cela a été fait délibérément.
Prenez ce passage de Ronald W. Clark dans Einstein: The Life and Times (on n'y trouve aucune référence à Poincaré, juste quelques renvois mineurs). On y lit page 101: "Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement" ...est sous bien des aspects l'un des plus remarquables papiers scientifiques qui ait jamais été publié. Même dans sa forme et dans son style, il est inhabituel, avec l'absence de notes et de références qui donnent du poids aux plus sérieux développements" ...(!)
Pourquoi Einstein, avec son expérience de spécialiste de brevets, n'aurait-il pas éprouvé le besoin de citer des références dans son article sur la relativité ?  On aurait pu penser qu'Einstein, un néophyte, aurait surréférencé plutôt que sousréférencé.
N'aurait-on pas pu également attendre un meilleur sérieux de la part d'un éditeur placé devant un long manuscrit qui, de toute évidence, n'avait pas été contrôlé ? Apparemment, il n'y a eu aucune recherche de contrôle de qualité quand il a été publié dans les Annalen der Physik. Des éditeurs plus compétents auraient rejeté le papier sans même l'avoir lu. Au grand minimum, on aurait pu attendre de l'éditeur qu'il fasse une recherche dans la littérature existante pour déterminer si la prétention d'Einstein à la nouveauté était justifiée. 
Max Born a déclaré : "Le point qui choque est qu'il ne contient pas la moindre référence à la littérature antérieure" (Born, 1956). Il  indique clairement que l'absence de références est anormal et que, même avec les habitudes du début du 20ème siècle, ceci est des plus bizarres, on peut même dire non professionnel.
Einstein a biaisé et entortillé les choses pour éviter d'être accusé de plagiat, c'est transparent.
Bjerknes, en 2002, signale le passage suivant écrit par James MacKaye: "L'explication de la conduite d'Einstein est qu'il veut se cacher derrière Lorentz. Ainsi la théorie d'Einstein n'est ni le refus ni une alternative de celle de Lorentz : ça en est seulement la copie et le camouflage.  Einstein maintient continuellement que la théorie de Lorentz est bonne, et qu'il n'est en désaccord que sur son "interprétation". Il n'apparaît donc pas clairement si, dans ce cas comme dans d'autres, la théorie d' Einstein est simplement le déguisement de celle de  Lorentz, le désaccord sur l' "interprétation" étant en fait purement verbal.
Poincaré a écrit 30 livres et plus de 500 papiers sur la philosophie, les mathématiques et la physique. Einstein a écrit sur les mathématiques, la physique et la philosophie, mais prétend qu'il n'a jamais lu les contributions de Poincaré sur la physique.
Cependant, beaucoup des idées de Poincaré - par exemple, que la vitesse de la lumière est une limite et que la masse augmente avec la vitesse - refont surface dans le papier d'Einstein, "Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement" sans avoir été référencées.
L'attitude d'Einstein de voler la presque totalité de la littérature écrite par Lorentz et Poincaré pour écrire son document atteint le niveau du plagiat. Mais à l'âge de l'informatique cette sorte de plagiat ne peut jamais rester indéfiniment ignorée, bien que la communauté des physiciens n'en ait pas encore pris réellement conscience.
Dans son papier de 1907, Einstein exprime sa conception du plagiat : "Il m'apparaît qu'il est dans la nature des choses que ce qui suit ait déjà été partiellement solutionné par d'autres. Malgré celà, étant donné que le sujet concerné est ici traité d'un point de vue différent je me sens délié d'avoir à faire une recherche approfondie dans la littérature ..."
Avec cette déclaration, Einstein considère que le plagiat, lorsqu'il est convenablement camouflé est un acceptable outil de recherche.
Voici la définition du mot "plagier" extrait d'une source inattaquable : le Webster's New International Dictionary of the English Language, Second Edition, Unabridged, 1947, p. 1,878: "Voler ou détourner et faire passer comme étant siennes, les idées, mots, productions artistiques, etc. d'un autre;utiliser sans le signaler clairement les idées, expressions ou productions d'un autreCommettre un plagiat". N'est-ce pas exactement ce qu'a fait Einstein ?
Reconnaître le mérite d'un autre comporte deux aspects ; dans le temps et dans la forme.  Dire 30 ans après les faits que Lorentz a établi les bases de la relativité restreinte (voir plus bas) n'est pas convenable et n'est pas une vraie reconnaissance. Rien de ce que Einstein a pu écrire, bien après coup, sur les contributions de Lorentz ne peut effacer la réalité du plagiat.
La vraie nature du plagiat d'Einstein apparaît dans son papier de 1935,  "Elementary Derivation of the Equivalence of Mass and Energy", où dans une discussion sur Maxwell il écrit : "La question est de savoir si l'indépendance de ces relations est naturelle, parce que la transformation de Lorentz, la véritable base de la théorie de la relativité restreinte...
Ainsi, Einstein avoue que la transformation de Lorentz était la véritable base de son papier de 1905.  Quiconque conserve un doute qu'il fut un plagiaire doit se poser la simple question :  "Que savait Einstein, et quand l'a-t-il su ?" Einstein a commis un plagiat prémédité, pas un plagiat accidentel qui peut toujours arriver (Moody, 2001).

L'histoire de  E = mc2
Qui est à l'origine du concept que la matière peut être transformée en énergie, et vice versa ? Cela remonte au moins à Sir Isaac Newton (1704).  Brown (1967) dit ce qui suit :   "Ainsi, progressivement, est apparue la formule E = mc2, suggérée sans preuves réelles par Poincaré en 1900".
Ce qui est certain, c'est qu'Einstein n'est pas l'auteur de l'équation E = mc2.
Et la question devient : "Qui est l'auteur ?"
Bjerknes (2002) a suggéré comme candidat possible S. Tolver Preston, qui " a formulé l'énergie atomique, la bombe atomique et la supra conductivité dans les années 1870, en se basant sur la formule E = mc2".
En plus de Preston, un acteur important dans l'histoire de E = mc2, qui mérite crédit, est Olinto De Pretto (1904). Ce qui rend cette date suspecte est le fait qu'Einstein parlait couramment l'italien, qu'il a revu des papiers écrits par des physiciens italiens et que son meilleur ami était Michele Besso, un Suisse italien. Il est clair qu'Einstein, en1905, aurait pu avoir accès à la littérature et qu'il pouvait la lire. Dans la phrase "la formule E = mc2 d'Einstein était une idée italienne" (Carroll, 1999), nous avons une évidence assez claire que De Pretto précédait Einstein en ce qui concerne la formule E = mc2.
En ce qui concerne la compréhension qu'une énergie considérable pouvait être dégagée d'une masse faible, Preston (1875) peut être crédité de l'avoir su avant même qu'Einstein soit né. Preston a utilisé la formule E = mc2 dans son travail, puisque la valeur qu'il a calculée - à savoir qu'un grain peut permettre de hisser un objet de 100 000 tonnes à une hauteur de 1.9 miles - satisfait à l'équation E = mc2.
Selon Ives (1952), l'exploitation qu'Einstein a tenté de faire de la formule E = mc2 était fatalement défectueuse car Einstein cherchait à prouver ce qu'il supposait. C'est la même chose pour le manque de soin avec lequel il a traité les équations de la décroissance de la radioactivité. Il en ressort qu'Einstein a mélangé cinématique et mécanique, et a éliminé le neutrino. Le neutrino peut être une particule mythique accidentellement créée par Einstein (Carezani, 1999). Nous avons deux choix pour ce qui est du neutrino : ou bien il y en a d'au moins 40 sortes, ou bien il y en a zéro.

L'éclipse de 1919
Il n'y a pas de plus clair exemple de fraude scientifique que celle venue des Tropiques le 29 Mai 1919. Ce qui est particulièrement clair, c'est que Eddington a falsifié les données de l'éclipse de soleil de manière à rendre les résultats conformes aux travaux d' "Einstein" sur la relativité générale. Poor (1930), Brown (1967), Clark (1984) et McCausland (2001), tous ont publié les résultats concernant cette éclipse.
Ce qui rend les expéditions à Sobral et à Principe si suspectes est le support zélé d'Eddington à Einstein, comme on peut le voir dans sa déclaration : "En faisant principalement des essais, et finalement en vérifiant la théorie ennemie, notre observatoire national a perpétué les plus belles traditions de la science ..." (Clark, 1984). Dans cette circonstance, Eddington n'était pas apparemment familier des principes de base du scientifique qui était de collecter les données et non de vérifier les théorie d'Einstein.
Une preuve supplémentaire de la fraude peut être déduite des propres déclarations d'Eddington et de la présentation qui en a été faite par Clark (ibid., p. 285): "Le 29 Mai débuta avec une forte pluie qui ne se calma seulement qu'aux environs de midi. Ce n'est pas avant 1h30 de l'après midi, alors que l'éclipse avait déjà commencé, que l'équipe put jeter son premier regard sur le soleil : Nous avions à exécuter notre programme de photographies à l'aveuglette...".   Eddington révèle son véritable préjudice : il était prêt à faire n'importe quoi pour prouver qu'Einstein avait raison. Mais Eddington n'était pas homme à se décourager : "Tout se passait comme si nos efforts, au moins pour ce qui concerne l'expédition de Principe, allaient devoir échouer";  "Nous developpâmes les photographies, deux chaque nuit pendant les six nuits suivant l'éclipse. Le temps nuageux avait contrarié mes planset j'eus à traiter les mesures d'une manière différente de ce que j'avais prévu : en conséquence je n'avais pu faire aucune déclaration préalable du résultat" (Clark, ibid.).
En réalité, les mots d'Eddington concernant le résultat remplissent des volumes.  Dès qu'il a eu trouvé un fragment de preuve ayant quelque consistence avec la théorie de la relativité générale d'Einstein, il a immédiatement proclamé que c'était une preuve de la théorie. Est-ce cela la science ?
Où étaient les astronomes quand Eddington a présenté ses conclusions ? L'un d'entre eux a-t-il devant Eddington regardé réellement les plaques photographiques ? Poor le fit et il a complètement réfuté les conclusions d'Eddington. Cela aurait dû stopper n'importe quel scientifique honnête. 
Voici quelques citations prises dans le commentaire de Poor : "La formule mathématique avec laquelle Einstein a calculé sa déviation de 1.75 secondes des rayons lumineux passant au bord du soleil, est une formule simple et bien connue de l'optique physique";  "Il n'y a là dedans pas un seul concept fondamental de temps variable, d'espace déformé ou tordu, de simultanéité, ou de mouvement relatif qui soit de manière quelconque impliqué dans les prédictions ou les formules d'Einstein concernant la déviation de la lumière"; "On a donné une importance imaginaire aux nombreuses et minutieuses expéditions qui ont été organisées pour les éclipses. Leurs résultats ne peuvent ni prouver, ni désapprouver la théorie de la relativité"  (Poor, 1930).
Par Brown (1967), nous apprenons que Eddington n'avait pas pu attendre pour informer la communauté mondiale que la théorie d'Einstein était confirmée. Ce sur quoi Eddington se basait était un jugement prématuré des plaques photographiques. Tout d'abord, les étoiles "semblaient" se courber comme elles l'auraient dû, selon Einstein, mais  ensuite, selon Brown, l'imprévu arriva : quelques étoiles pouvaient être observées se courbant dans une direction perpendiculaire à celle prévue tandis que d'autres se courbaient même dans la direction opposée à celle prévue par la relativité.
L'absurdité des données collectées durant l'éclipse de 1919 fut démontrée par Poor (1930), qui attira l'attention sur le fait que 85% des données de l'éclipse Sud-Américaine avaient été éliminées au motif "d'erreurs accidentelles", c'est à dire contraires à Einstein. Par une étrange coïncidence les 15 % de bons résultats satisfaisaient aux lois d'Einstein.  En quelque sorte, les étoiles qui ne suivaient pas les lois d'Einstein étaient commodément mises hors jeu temporairement - et c'est ainsi que débuta le mythe.
C'est ainsi que, sur la base d'une poignée de données ambigües, 200 ans de théories, d'expérimentation et d'observations ont été mises au panier pour faire place à Einstein. Encore maintenant, les expériences discréditées d'Eddington sont toujours considérées comme l'Evangile pour Stephen Hawking (1999). On peut difficilement comprendre comment Hawking peut affirmer que " La nouvelle théorie de l'espace-temps courbe appelée relativité générale a été confirmée de manière éclatante en 1919, lorsqu'une expédition britannique en Afrique de l'Ouest a observé lors d'une éclipse un léger glissement dans la position des étoiles près du soleil. Leur lumière, comme Einstein l'avait prédit, fut incurvée lorsqu'elles passèrent derrière le soleil. Ce fut une preuve directe que l'espace et le temps se déforment". Hawking croit-il honnêtement qu'une poignée de données, plus soigneusement triturées que le flanc d'un boeuf de Kobé, peut constituer une base pour jeter par dessus bord un paradigme qui a survécu à deux siècles d'examens minutieux ?  
La véritable question, cependant, est : "Où était Einstein dans tout cela ?".  Au moment où il a écrit son papier de 1935 il avait sûrement connaissance du travail de Poor :  "Les réels déplacements d'étoiles, s'ils sont confirmés, n'ont pas la plus petite ressemblance avec les déviations prédites par Einstein :  ils ne sont conformes ni pour la direction, ni la taille, ni le taux de décroissance en fonction de leur distance au soleil". Pourquoi ne les a-t-il pas mentionnés et émis un papier sur ce qui contredisait complètement son travail ? Pourquoi les partisans d'Einstein n'ont-ils pas essayé de rectifier les fausses données de 1919 ?
Ce qui les rend si prudents est le fait que, à la fois les instruments et les conditions matérielles, ne permettent pas d'effectuer des mesures de grande précision. Ainsi que le British Institute of Precise Physics  l'a signalé dans un article Internet paru en 2002, les instruments de visées utilisés dans les expéditions n'étaient précis qu'à seulement 1/25ème de degré. Ceci pour les seuls instruments de visées, alors qu'Eddington prétendait lire des valeurs plus de 200 fois plus précises...
McCausland, en 2001, cite le précédent éditeur de Nature, Sir John Maddox: "Ils  [Crommelin and Eddington] étaient résolus à mesurer la déviation de la lumière";  "Ce qui n'est pas très connu, c'est que les mesures faites en 1919 n'étaient pas particulièrement précises ";  "En dépit du fait que les preuves expérimentales en faveur de la relativité semblent avoir été tout à fait fragiles en 1919, la renommée énorme d'Einstein est demeurée intacte et sa théorie a dès lors été tenue comme étant l'un des plus grands succès de la pensée humaine" 
Il est clair, d'après le contexte, que Eddington n'était en aucune façon intéressé à tester la théorie d'Einstein; il ne voulait que la confirmer.   L'un des facteurs qui a motivé Eddigton dans sa décision de promouvoir Einstein a été que tous deux partageaient une même vision politique : le pacifisme. Pour suggérer que la politique n'a tenu aucun rôle dans son chaleureux support d'Einstein, il suffit de poser une question: "Eddington aurait-il été si attentif pour supporter Einstein, si Einstein avait été un faucon ?  Ceci n'est pas une question innocente. Eddington a tenu très sérieusement son rôle de grand faiseur de paix. Il voulait rassembler les scientifiques Britanniques et Allemands après la première guerre mondiale. Quoi de mieux que d'élever l'"ennemi" théoricien Einstein à un statut élevé ? Dans son zèle de faiseur de paix, Eddington a perdu l'objectivité fondamentale qui est la conduite essentielle de tout vrai scientifique. Eddington a cessé d'être un scientifique et, à la place, est devenu un avocat d'Einstein.
La falsification évidente des données par Eddington et consorts est une subversion éhontée du progrès scientifique et peut avoir égaré la recherche scientifique pour une bonne part du siècle. Elle dépasse probablement l'Homme de Piltdown comme étant le plus grand canular de la science du 20ème siècle. On peut poser la question : "Quel a été le canular du siècle ?" et répondre "C'est le rapport de l'éclipse de 1919 de la Royal Society qui a dupé le monde pendant 80 ans!"  McCausland déclare que "Dans son opinion, l'annonce outrecuidante de la confirmation décisive de la théorie de la relativité générale d'Einstein en Novembre 1919 ne fut pas un moment glorieux pour la science, comme on la présente généralement, mais l'un des plus graves accidents dans l'histoire de la science du 20ème siècle."

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